En 1888, Jack l’éventreur ou « l’assassin de Whitechapel » assassine 5 prostituées dans le quartier mal famé de l’Est londonien. Pendant 4 mois, il tue en toute discrétion. Après avoir étranglé puis égorgé ses victimes, il les mutile habilement avec un couteau d’une dizaine de centimètres. Il ne laisse aucune trace et aucun témoin ne le reconnaît. Qui est Jack l’éventreur ? Malgré les nombreux livres et théories des «ripperologues», l’identité du tueur en série reste une énigme.

Jack the Ripper, Jack l’éventreur en français, est sûrement le plus célèbre et le plus enigmatique des tueurs en série.

Quartier de Whitechapel, à l’est de Londres. En 1888, c’est un ghetto économique et social. 900.000 personnes vivent dans des taudis infâmes. La violence et le crime sont le lot quotidien de ces travailleurs pauvres. Les femmes, souvent exploitées et sous-payées, se prostituent à la vue de tous, dans la rue, pour survivre. L’horreur est partout. Mais en cette année 1888, les londoniens vont découvrir les assassinats sordides d’un tueur en série: Jack l’éventreur.

31 août 1888, peu avant 4h du matin. Il fait sombre, le temps est froid et humide. La ruelle Buck’s Row est déserte. Un passant découvre le cadavre d’une femme, aux yeux grands ouverts et presque décapitée. Son abdomen est mutilé. C’est Mary Ann Nichols surnommée « Polly », une prostituée de 42 ans.

Le 8 septembre 1888, vers 6h du matin, dans une petite cour éclairée, un vieil homme remarque le corps d’une femme. Sa robe est relevée au-dessus de sa taille. Elle est éventrée. Comme la précédente, la victime est égorgée, presque décapitée et surtout mutilée. Certains de ses organes internes sont tirés vers ses épaules et reposent sur le sol. Le médecin légiste s’aperçoit que l’utérus et sa vessie ont été extraits. Cette femme, c’est Annie Chapman surnommée « Annie la Sombre », une prostituée de 47 ans.

Le 30 septembre 1888, à 1h du matin. Dans l’obscurité, un travailleur décèle une masse allongée dans la cour d’entrée d’un Club, la Dutsfield’s Yard. Le corps d’une femme git à terre. Ses vêtements, non relevés au-dessus de sa taille, sont recouverts de sang. Elle est égorgée comme les 2 autres victimes mais pas mutilée. C’est Elizabeth Stride surnommée « Long Liz », 45 ans, elle se prostitue occasionnellement. Alors que les inspecteurs enquêtent sur ce troisième meurtre, à quelques centaines de mètres de là, un quatrième corps de femme est découvert 45 min plus tard… Elle est allongée sur le dos. Sur cette grande place peu éclairée, située au centre d’un labyrinthe de rues étroites et d’impasses, la victime a sa robe remontée au-dessus de sa taille, la gorge coupée, ses entrailles à l’air et son visage affreusement abimé. Le médecin légiste constate que le rein gauche a été prélevé avec soin ainsi que l’utérus. C’est Catherine Eddows, surnommée « Kate », 46 ans, elle se prostitue occasionnellement.

Le 9 novembre 1888, c’est jour de fête. Les rues sont bondées. Un commerçant s’inquiète de ne pas voir l’une de ses locataires. Il envoie son apprenti collecter l’arriéré de loyer. Par la fenêtre, il voit la jeune fille allongée sur le lit, les jambes écartées, le corps en charpie. Comme les autres, elle a été égorgée et mutilée. Son abdomen et l’intérieur de ses cuisses ont été enlevés, la cavité abdominale vidée de ses viscères, disposés autour du corps. Les seins coupés, les bras et le visage déchiquetés. Cette dernière victime officielle de Jack l’éventreur c’est Mary Kelly, 25 ans, elle se prostitue occasionnellement.

Jack the ripper, gravure de 1888

LA TRAQUE DU MEURTRIER

Les meurtres de prostituées ne sont pas rares dans ce quartier mal famé de l’Est londonien, mais les mutilations des corps suscitent l’effroi et l’indignation de la population. La presse s’empare de l’affaire… L’inspecteur Frederick George Abberline, 45 ans, est chargé de résoudre au plus vite ce premier meurtre horrible. Mais les investigations n’aboutissent à rien.

Pas de témoins. Pas d’arme. Pas d’indices.

Pour le deuxième assassinat, les témoignages recueillis par l’inspecteur Abberline sont édifiants: personne n’a entendu de cris, ni vu de promeneur avec des vêtements en sang et un couteau à la main. Le tueur a agit presque en plein jour sans que personne s’en aperçoive. C’est la stupéfaction dans les journaux. Seule certitude, on aurait aperçu la victime vers 5H30 discutant avec un homme brun d’une quarantaine d’années, portant un chapeau de chasse marron et un manteau sombre. Selon le témoin, il parait « étranger ». Très vite, la population est apeurée et trouve l’action de la police inefficace, elle cherche donc un bouc-émissaire. C’est la communauté juive grandissante (très mal vue à l’époque) qui est touchée. De nombreux suspects sont arrêtés et interrogés. En vain. D’autres profils sont suspectés, des excentriques, des alcooliques et des malades mentaux. L’inspecteur Abberline tourne en rond.

Emplacements des corps dans le quartier de Whitechapel

Le troisième crime, malgré l’absence de mutilations sur le corps, est attribué au tueur en série. Selon les conclusions de la police, le criminel aurait été dérangé… Pourtant, personne n’a rien vu, ni entendu. Pour ce meurtre et le quatrième survenu 45 min plus tard, à quelques mètres de là, l’inspecteur recueille de nombreux témoignages. Des promeneurs auraient aperçu un homme discutant avec ces 2 jeunes femmes. Environ 30 ans, cheveux bruns, moustache, casquette noire et manteau sombre. La même description physique que pour le 2ième meurtre. Mais toujours pas de traces matérielles.

Les habitants de Whitechapel sont terrorisés. Toutefois certains plaisantins s’amusent de la situation. La police reçoit des centaines de lettres dont trois vont attirer l’attention. 2 d’entre elles sont reçues les 25 et 27 septembre 1888 par une agence de presse le Central News Agency. Elles décrivent les meurtres et sont signées, Jack l’éventreur. C’est à partir de ces courriers que le nom du tueur de Whitechapel est né. Après expertise, la police conclut à la nullité de ces lettres et les attribue à un journaliste en quête de scoop. Le 16 octobre, un troisième pli arrive. Il est envoyé avec un morceau de rein humain. L’écriture est différente des 2 précédentes. Le médecin légiste conclut que le rein pourrait appartenir à la quatrième victime. Mais les techniques de l’époque ne pouvaient pas l’assurer. Cette lettre aurait pu être écrite par le tueur, mais cette fois encore, aucune certitude.

Pendant plus d’un mois, l’assassin des bas-fonds londoniens ne sévit plus. Pour le dernier meurtre, la police travaille d’arrache-pied. Chaque piste est suivie, chaque suspect est longuement interrogé. A chaque fois, c’est l’impasse. Les capacités des policiers sont remises en cause par l’opinion publique et la presse. Des témoins, interrogés sur ce quatrième meurtre, décrivent le même homme… toujours introuvable.

Après avoir épuisé toutes les pistes, le dossier de Jack l’éventreur est classé en 1892, l’année où l’inspecteur Abberline prend sa retraite. Le mystère persiste…

L’éVENTREUR éCRIT

Dans le tumulte des réactions et de l’émoi du public, beaucoup de lettres furent reçues par la police, le presse ou d’autres. Certaines, anonymes, s’accusent du meurtre, et seulement trois d’entre elles attirent l’attention.

1/ Dear Boss, 27 septembre 1888

Il s’agit d’une lettre reçue le 1er octobre 1888 à l’agence de presse Central News. Elle est pour le première fois signé d’un « Jack l’éventreur », un nom marquant qui restera. Plus tard la Police affirma qu’il s’agit d’un faux fabriqué par un journaliste. Le texte traduit (Traduction Frogwares, Sherlock Holmes contre Jack l’éventreur, 2009) :

25 sept. 1988

Cher Patron,

J’entends toujours dire que la police m’a attrapé, mais ils ne m’auront pas de sitôt. J’ai bien ri quand ils ont fait les intéressants en déclarant être sur la bonne piste. Cette histoire de tablier de cuir n’est qu’une vaste blague. J’en ai après les putes et je n’arrêterai pas de les éventrer jusqu’à ce qu’on me boucle. Du beau travail, mon dernier boulot. Je n’ai même pas laissé à la fille le temps de couiner. Comment pourraient-ils m’attraper maintenant ?

J’adore mon travail et je veux recommencer. Vous entendrez bientôt parler de moi et de mes amusants petits jeux. J’ai gardé un peu du liquide rouge dans une bouteille de bière lors de mon dernier boulot afin de pouvoir écrire avec, mais c’est devenu épais comme de la colle et je ne peux pas l’utiliser. L’encre rouge fera l’affaire, je pense. Ha ha. Au prochain travail, je trancherai les oreilles de la dame et les enverrai aux officiers de police, histoire de m’amuser un peu. Gardez cette lettre sous le coude jusqu’à ce que je travaille un peu plus, après sortez-la. Mon couteau est si beau et si bien aiguisé que j’ai envie de l’utiliser tout de suite si l’occasion se présente.

Bonne chance. Cordialement,

Jack l’éventreur

Ne m’en voulez pas d’utiliser un surnom.

PS : Je n’ai pas réussi à poster ça avant de m’être débarrassé de toute l’encre rouge sur les mains. Vraiment pas de chance. Ils disent que je suis un docteur maintenant. Ha ha.

2/ Saucy Jacky, 1er octobre 1888

Une carte postale oblitérée le 1er octobre 1888, reçue également à l’agence de presse Central News, mentionne des détails du meurtre de Catherine Eddowes, dont un bout d’oreille avait été coupé. Le texte traduit :

Je ne plaisantais pas cher vieil Ami quand je vous avais donné le tuyau. Vous entendrez parler du travail de Saucy Jacky demain événement double cette fois-ci la numéro un couina un peu je n’ai pu terminer d’emblée. N’avais pas eu le temps de couper les oreilles pour la police merci d’avoir gardé la dernière lettre jusqu’à ce que je retourne au travail encore.

Jack l’éventreur

3/ From Hell, 15 octobre 1888

La lettre la plus célèbre. Oblitérée le 15 octobre 1888, elle fut reçue par George Lusk, président du Whitechapel Vigilance Committee, et était accompagnée par la moitiée d’un rein humain, supposé provenir du corps de Catherine Eddowes. La lettre était éctite avec beaucoup de fautes d’orthographe, imitant un accent, peut être pour camoufler une écriture. Contrairement aux deux autres, elle n’est pas signée « Jack the Ripper ». Le texte traduit :

De l’enfer

M. Lusk

Monsieur

Je vous ai envoyé la moitié du rein que j’ai pris d’une femme

conservé pour vous l’autre partie je l’ai frite puis mangée ; c’était très bon. Je

pourrai vous envoyer le couteau ensanglanté qui l’a pris si seulement vous attendez un peu plus longtemps.

signé

Attrapez-moi quand vous pourrez Monsieur Lusk.

QUI EST JACK L’éVENTREUR ?

Si Jack l’éventreur sévissait aujourd’hui, le mystère ne durerait pas longtemps avec les techniques de profiling modernes et l’ADN! De nos jours, il serait un tueur en série ordinaire et sans doute pas le plus populaire. Il a tué 5 prostituées dans un quartier fourmillant de criminels… Patrice Alègre ou Guy Georges lui volerait surement la vedette.

Lors de la commémoration des 100 ans des meurtres de Whitechapel, en 1988, 2 ex-profilers du FBI, Roy Hazelwood et John Douglas établissent le profil psychologique de Jack l’éventreur pour une émission de télévision. En se basant sur les rapports d’autopsie, les faits et les dossiers de police, leur profil est le suivant: homme blanc, de 25 à 30 ans, d’intelligence moyenne et sans doute brun. Comme les meurtres se déroulent uniquement les week-ends, Jack a un emploi manuel régulier, ouvrier boucher ou équarisseur peut-être. Ses sorties nocturnes s’expliquent par le fait que l’homme est célibataire, solitaire, discret et peu intégré à la société. Un Monsieur tout le monde… qui lui permet de se fondre dans la foule et de disparaitre dans les ruelles. Toujours selon le profil des 2 agents du FBI, ses meurtres sont spontanés et opportunistes. Le premier assassinat a surement eu lieu près de son domicile. Jack est un tueur mixte, à la fois organisé et désorganisé. Il prend soin de se vêtir pour inspirer confiance, approche ses victimes tranquillement à la manière d’un client potentiel, les emmène dans un coin sombre… Et se jette sur elle pour assouvir sa frénésie de sang et de mutilations.

Mary Jane Kelly

Quant aux choix de ses victimes et la nature des mutilations, les 2 experts pensent que Jack a pu être abusé par une femme dominante qui l’a élevé. Enfant, il a dû ventiler sa rage en mutilant par exemple des animaux. Quant à la boucherie des corps, ils l’attribuent aux pulsions sadiques qui hantaient l’assassin. Malgré ce profil précis et les dizaines de « Ripperologues » à la recherche de l’identité, Jack l’éventreur n’est toujours pas démasqué.

POURQUOI ET COMMENT TUE-T-IL ?

Jack l’éventreur est apparenté à la famille des tueurs en série. Son mode opératoire est toujours identique. Pour chaque victime, il emporte une partie de ses viscères, une sorte de trophée… une pratique courante chez les tueurs en série.

Jack agit toujours la nuit où au petit matin. D’après des témoignages, ses victimes sont souvent saoules. Positionnés face à face, le tueur se jette sur elle pour l’étrangler puis l’égorge et l’allonge sur le sol. L’éventreur opère ensuite ses mutilations. Sur ce point, une grande contradiction existe entre les médecins légistes de l’époque: le degré de connaissance anatomique de Jack. Certains le disent habile et cultivé, d’autres sans discernement. Dans cette histoire sombre et mystérieuse, une certitude: les autopsies n’ont jamais détecté de viol ni même de masturbation sur le corps.

Découverte d’un corps à Whitechapel

Pourquoi des prostituées? Ce sont des victimes « faciles »… Il ne mène pas une croisade vers le vice. Mais il est probable que le féminin le répugne. Les mutilations au bas ventre, le prélèvement de l’utérus, les coups à la poitrine, toutes ces violences indiquent un acte dirigé vers ou contre les symboles féminins.

Seconde certitude, au vue de la progression de la sauvagerie jusqu’au dernier meurtre, Jack l’éventreur n’a pas cessé de tuer sans raison. Un accident, une arrestation pour un autre crime ou une santé mentale défaillante a dû le stopper. 5 meurtres officiellement sont attribués au tueur en série, mais les « ripperologues » sont tous d’accord sur ce point, il y a sûrement eu d’autres victimes avant la série d’août 1888. Le nombre? Également un mystère

LES POSSIBLES VISAGES DE JACK L’ÉVENTREUR

La véritable identité de Jack l’éventreur est une énigme à résoudre. Malgré les nombreux livres et différentes théories, personne ne peut mettre un visage sur ce nom… Voici une liste, non exhaustive, de potentiels suspects.

Le Prince Albert Victor

  • Le Prince Albert Victor: « Eddy », petit-fils de la reine Victoria et atteint de troubles psychiatriques (peut-être homosexuel), écume le quartier de Whitechapel. Il est arrêté et interné. Vu sa qualité, la police ferme les yeux. Il s’évade et est rattrapé après la mort de Mary Jane Kelly. Mais voilà, il possède un alibi incontestable le jour du meurtre. Le prince fête l’anniversaire de son père, le Prince de Galles, dans un château écossais.

James Kenneth Stephen

  • James Kenneth Stephen: tuteur du Prince Albert Victor. Il déteste les femmes. Il voue un amour passionné au roi qui le quitte. James se serait vengé en tuant ces femmes. Suite à un accident en 1887, le tuteur ressort avec de graves lésions. Il décède dans un asile en 1892. Il n’existe aucune preuve contre lui.

Walter Sickert

  • Walter Sickert: peintre impressionniste Britannique et professeur de peinture du Prince Albert Victor. L’artiste apparait dans trois livres différents. Le dernier en date, celui de Patricia Cornwell en 2002 expliquent que ses peintures représentent les meurtres de l’éventreur. Sickert, impotent, déteste les femmes. Il aurait envoyé des lettres à la police se vantant des meurtres. Mais aucune preuve ne le relie aux meurtres.
  • Dr Alexander Pedachenko: chirurgien soi-disant ex-membre des services secret russes, il pratique la médecine à Glasgow avant de s’installer à Londres au milieu des années 1880. Il aurait avec 2 serviteurs commis les meurtres de l’éventreur pour embarrasser Scotland Yard, afin de les punir d’avoir « choyé » des exilés russes dissidents. Il n’existe aucune preuve.
  • Dr Montague John Druitt: médecin de bonne famille. Il est « sexuellement aliéné ». Il est porté disparu après le meurtre de Mary Kelly. Son corps est repêché dans la Tamise le 31 décembre 1888. Aucune preuve ne le relie aux meurtres.
  • Dr Thomas Neil Cream: médecin et tueur en série. Il empoisonne huit femmes en Angleterre et en Europe dont quatre prostituées Londoniennes. Sur sa potence, en 1892 , il crie « Je suis Jack l’éventreur… ». Mais il était emprisonné aux Etats-Unis lors des meurtres de 1888.
  • James Mavbrick: courtier en coton décédé en 1889. Il aurait écrit dans son journal intime qu’il était Jack l’éventreur. Dans ses écrits, il détaille les faits et explique pourquoi il commence ses meurtres en août 1888 et s’arrête brusquement… mais le journal est un faux!
  • Robert Donston Stephenson: journaliste et ivrogne féru d’occultisme. Il est fasciné par la magie noire et s’intéresse beaucoup aux crimes de l’éventreur. Les meurtres serait un rituel mortel selon l’auteur Melvin Harris qui le désigne en 1987 comme tueur potentiel. Aucune preuve pour cette théorie.
  • Jill l’éventreuse: Abberline (inspecteur de police chargé de l’enquête) a suggéré que l’éventreur peut être une sage-femme qui maquille ses avortements clandestins. Sauf que, aucune victime n’est enceinte.
  • Aaron Kosminski: Immigré juif polonais et résident de Whitechapel. Il devient fou à cause d’abus de vices solitaires. Il déteste les femmes, en particulier les prostituées, et a de fortes tendances d’homicides. Il est envoyé dans un asile d’aliénés en mars 1889.

CHRONOLOGIE DES CRIMES IMPUTÉS À JACK L’ÉVENTREUR

  • 31 août 1888: meurtre de Mary Ann Nichols, dite Polly, une prostituée âgée de 42 ans, mère de 5 enfants.
  • 8 septembre 1888: découverte du corps mutilé d’une autre prostituée, Annie Chapman, 47 ans et mère de 3 enfants.
  • 30 septembre 1888: meurtre d’Elisabeth Stride, une veuve suédoise de 45 ans. Son corps, à la différence des autres victimes, ne porte aucune trace de mutilation.
  • 45 minutes plus tard: les policiers découvrent le cadavre de Catherine Eddowes, une prostituée dont le corps a été atrocement mutilé.
  • Novembre 1888: mort de Mary Jane Kelly surnommée Black Mary, une jeune prostituée de 25 ans.

source: http://www.13emerue.fr/dossier/jack-leventreur

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Author: Reynald

J'ai crée ce site en 2004 car j'étais un passionné de paranormal et je voulais partager ma passion avec les gens qui ont la même passion. Bonne lecture.

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