Emilie Kürschner, une jeune femme de 19 ans est retrouvée morte le 24 Février 2011, démembrée et décapitée, dans la cave d’une maison abandonné au abords de Strasbourg (Alsace, France).Son frère est également retrouvé inerte en bas des escaliers menant à la cave. Il est en vie et est envoyé à l’hôpital.Quelques jours après, une fois rétabli, le frère d’Emilie explique aux gendarmes que ce jour là, il avait reçu un appel de sa sœur afin qu’il la rejoigne dans la cave de cette maison. Elle paressait paniquée au téléphone.Il explique également qu’une fois sur place, il découvrit une maison abandonnée, mais qu’il entendit les cris de sa sœur qui provenait de celle-ci. Il entra dans la maison et descendit les escaliers menant à la cave. Il raconte qu’après une trentaine de secondes de descente, il se retrouva devant une énorme porte ancienne en bois massif. Des voix se firent entendre de l’autre côté. Il essaya d’écouter, mais la voix ne parlait pas français. D’ailleurs, il n’a pas pu déterminer la langue. Il réussit à entre ouvrir un peu la grande porte pour jeter un œil. Il y vit une grande pièce sombre avec une table au milieu entourée de personnes en tuniques noires. Sur la table se trouvait une personne couchée en train d’agoniser. L’une des tuniques noires prit un couteau et commença à découper les membres de la personne encore vivante couché sur la table.
Il termina en lui découpant la tête qu’il leva en l’air. Il a du coup pu voir la tête de celle-ci et c’était sa sœur. C’est là qu’il dit ne plus se souvenir de rien, le trou noir car il est tombé dans les pommes explique t’il. Les gendarmes croient à son histoire, car tout concorde. Mais ils ne savent pas encore pourquoi Emilie Kürschner fut tuée dans de tels conditions. La seule chose trouvée est un tatouage sur le bras gauche de la victime en forme de symbole : « α β Ω » qui aurait été fait environ dix minutes avant le meurtre. Plus tard, le frère d’Emilie accorde une interview dans le journal local. Il dit qu’il avait découvert qu’en fait, il s’agissait d’un meurtre rituel en l’honneur d’un esprit particulier. On apprend également dans cette entrevue, qu’il travaillait dans une société qui aide la police judiciaire lorsque leurs enquêtes touche le domaine du paranormal. Des rumeurs racontent que le frère d’Emilie aurait découvert le fin mot de cette affaire, mais seul lui le sait. En Juin 2013, les gendarmes ont classé l’affaire « Kürschner » à défaut de preuve. Le frère d’Emilie ne se confia jamais et resta dans un mutisme total a ce jours.