Petit Récapitulatif:
On a tiré sur le président
C’est le vendredi 22 Novembre 1963 à 11h40, sous un éclatant soleil que le président et la première dame des États-Unis descendent d’Air Force One (avion présidentiel) à l’aéroport de Dallas (Love Field).
Le couple présidentiel salue rapidement la foule avant de monter, en compagnie du Gouverneur du Texas John Connally et de sa femme, dans la Lincoln noire.
Le cortège présidentiel quitte l’aéroport et traverse la ville de Dallas pour aller déjeuner au Trade Mart, escorté de 12 motards de la police de Dallas. Tout le monde salue le président.
Il ne semblait y avoir aucun doute sur la popularité de Kennedy. Même si le jour précédent, des tracts anti-Kennedy ont été distribués dans Dallas.
Arrivé au Dealy Plaza, le chauffeur ralentit étrangement son allure jusqu’à pratiquement s’arrêter tandis que des coups de fusils retentissent. Le président est touché à la tête et le gouverneur semble blessé, la voiture accélère de nouveau et disparaît sous le pont et prend la direction du Parkland Memorial Hospital. On venait de tirer sur le président, juste là, sous les yeux de centaines de personnes venues l’acclamer et des caméras de télévision.
Extrait du commentaire d’un journaliste radio au moment de l’attentat
Autopsie de John Fitzgerald Kennedy
A son arrivée à l’hôpital Parckland, Kennedy est directement pris en charge par une équipe de médecins qui feront tout pour sauver le président.
Un trou de la dimension d’une balle est présent dans le cou du président. Pour sauver le président, un des médecins pratique une trachéotomie, il agrandi le trou fait par la balle pour pouvoir faire passer un tuyau. Le problème c’est que les médecins qui ont fait l’autopsie n’étaient pas là lors de l’opération et il ont cru que la balle était sortie par devant du fait de la grosseur du trou.
Ce n’est que le lendemain que l’un des médecins de l’opération et un autre présent durant l’autopsie se sont téléphonés pour vérifier leurs résultats. Lorsque le médecin de l’autopsie pris connaissance de la trachéotomie il voulut en faire part au FBI, mais les agents refusèrent de prendre en compte cette partie de l’autopsie.
De plus, il y avait deux agents du FBI durant l’autopsie. Ils refusèrent de prendre les documents : radios, photos et certificats des médecins. Le FBI préféra faire appel à des dessinateurs plutôt qu’aux photos prisent durant l’autopsie.
Ceci permis au FBI de placer les trous causés par les balles à l’endroit où ils le désiraient. Ainsi que de placer le trou de la tête devant pour faire croire à un tir effectué de derrière alors que le trou était derrière la tête, ce qui obligeait qu’il y est un deuxième tireur devant, d’où un complot.
Liste des médecins
- Charles J. Carrico
- Malcom O. Perry
- Ronald Jones
- Fouad Bashour (Cardiologue en chef)
- M. T. Jenkis (Anesthésiste en chef)
- A. H. Giesecke Jr
Les croquis de la commission Warren
L’autopsie du corps du président Kennedy aurait du être un moyen irréfutable de déterminer la nature des blessures et la provenance des coups de feu tirés à Dallas notamment le tir fatal à la tête.En réalité cet acte médico-légal n’est qu’une autre preuve flagrante d’une manipulation orchestrée au plus haut niveau visant à cacher la vérité et à renforcer la thèse d’un tireur unique.
Le constat du décès à Dallas:
Alors que les coups de feu résonnent toujours sur Dealey Plaza, la limousine présidentielle fonce vers l’Hôpital Parkland de Dallas ou l’attendent de nombreux médecins et spécialistes résolus à tenter quelque chose pour sauver John Kennedy.En dépit de leurs efforts, les praticiens texans sont obligés de constater le décès du président qui est annoncé à la presse à 13H30.Il reste maintenant à mener une autopsie qui se révèle fondamentale pour déterminer l’origine des multiples blessures.Selon les lois en vigueur au Texas, l’autopsie aurait du se dérouler à l’hôpital Parkland.Les agents du Secret Service présent sur les lieux semblent ignorer cette législation puisqu’ils s’emparent par la force du corps de leur chef malgré les vives protestations du personnel de Dallas.L’examen médical se déroulera dans l’hôpital naval de Bethesda (Maryland) tout proche de Washington D.C.
L’autopsie de JFK:
Les conclusions du rapport Warren se fondent en partie sur le résultat de l’autopsie pratiquée sur la cote est.Malheureusement il ne s’agit encore que d’une nouvelle altération de la vérité.
En premier lieu, il convient de noter que les trois chirurgiens militaires désignés pour mener l’examen de la dépouille n’avaient aucune expérience en matière de blessures par balles.Le docteur Humes qui menait l’autopsie n’était qu’un fonctionnaire chargé d’affaires administratives; il n’avait pas pratiqué d’autopsie depuis de nombreuses années.Outre ce choix pour le moins étrange il faut savoir que le déroulement de l’autopsie a été véritablement orchestrée par les nombreux hauts gradés de l’armée américaine qui se trouvaient dans la minuscule salle de l’hôpital militaire.Le témoignage du docteur Finck livré en 1967 lors du procès de Clay Shaw mené par le procureur de La Nouvelle Orléans Jim Garrison est à ce propos édifiant.Le docteur Finck avait été choisi par Humes pour assister à l’autopsie en tant que consultant et se souvient exactement du déroulement de l’examen:
A un moment, l’atmosphère était très lourde et le docteur Humes a dit excédé: qui est le responsable ici? Et un gradé a répondu: Moi.
Finck ne se rappelle pas de son nom mais affirme avec certitude qu’il s’agissait d’un amiral ou d’un général.D’ailleurs la salle était remplie de militaires de haut rang et d’agents gouvernementaux qui surveillaient et contrôlaient totalement le déroulement des opérations.Ainsi les chirurgiens ont été, selon leur propres dires, interdit d’examiner la blessure au cou et au dos du président ou d’étudier les possibles traces de coups de feux sur les vêtements de JFK.
La blessure à la tête:
En fait l’attention s’est surtout concentrée sur la blessure à la tête qui correspond au tir fatal.Les conclusions de l’autopsie sont formelles, la blessure se situe sur la droite de la tête de Kennedy juste au dessus de l’oreille.Cette localisation correspondrait au point de sortie d’une balle provenant de derrière la limousine, c’est à dire du dépôt de livre.Cette version qui est acceptée par la Commission Warren est formellement démentie par les observations des médecins et du personnel de l’hôpital Parkland de Dallas ainsi que par le témoignages des personnes qui ont vu la dépouille du président avant son transfert en avion vers l’hôpital de Bethesda.
Lors d’une conférence de presse dans l’après midi du drame, les docteurs Perry et Clark qui ont tenté de sauver JFK n’évoquent en aucune façon la possibilité d’un tir venant de l’arrière et localisent différemment la large blessure à la tête.
Le docteur Clark déclarait ainsi: « La blessure se trouve à l’arrière de sa tete (et non pas au niveau de l’oreille) […] Cette blessure peut être soit une blessure de sortie causée par la balle qui est entrée par le cou soit le résultat d’un coup de feu tiré par le côté. »
Outre les docteurs, l’ensemble du personnel de l’hôpital et les personnes ayant observé le corps tels les agents du Secret Service Clint Hill et Roy Kellerman sont certains d’avoir vu une large ouverture sur la partie arrière droite du crâne de JFK.
La blessure au cou:
En ce qui concerne la blessure à la gorge, les témoignages sont encore une fois très différents de la version officielle.Alors que les conclusions de l’ autopsie de Bethesda et le rapport Warren la considère comme un impact de sortie, preuve d’un tir du dépôt de livres, les docteurs texans affirment immédiatement après le constat du décès qu’il s’agit d’un point d’entrée.
Interrogé le 22 Novembre par des journalistes, le docteur Perry tient les propos suivant:
JOURNALISTE: « Ou se trouve la blessure d’entrée? »
Dr PERRY: « Il y a une blessure d’entrée au niveau du cou.Pour la tête je ne peux rien dire »
JOURNALISTE: « Quel est le parcours emprunté par la balle qui le touche au cou? Est ce en face de lui? »
Dr PERRY: « Il apparaît que le projectile venait de devant lui »
Cette blessure au cou est présentée par les médecins de Dallas comme une très petite blessure de trois à cinq millimètres de diamètre(caractéristique d’un point d’entrée) qui sera un peu élargie à Dallas pour faciliter la respiration du président alors qu’on tente de le sauver.Sur les clichés de l’autopsie de Bethesda, cette petite ouverture s’est transformée en une large blessure grossière mesurant dix centimètres de long sur quatre de large comme si l’on avait tenté de maquiller cela en un point de sortie plus conforme à la thèse d’un tireur unique posté derrière le président.
A propos des clichés censés montrer le corps du président pendant l’autopsie, il semble bien qu’il s’agisse là encore d’une manipulation.
Les photographies de l’autopsie:
A ce jour, il existe peu de photographies et de radios de l’autopsie disponibles.Pourtant ces quelques documents suffisent pour y déceler une nouvelle forme de manipulation et de tromperie qui n’ont rien à envier aux trucages photographiques de l’époque de l’URSS de Staline.
Lors de l’autopsie de JFK, des employés de l’hôpital furent chargés de prendre des clichés et d’exposer le corps du président aux rayons X. Ainsi John Stinger affirme avoir pris près de 120 clichés lors de l’examen du corps.Aujourd’hui, on n’en connaît qu’une dizaine que son auteur ne reconnaît absolument pas avoir pris. Même réaction de Floyd Riebe, responsable du développement des photos, lorsqu’on lui montre en 1978 les clichés dont il s’est occupé:
Ce n’est pas ce que j’ai vu cette nuit là […] Ces photos sont fausses, c’est un trucage.
En ce qui concerne les radios, les poses de l’ensemble du corps de JFK effectuées par Jerrol Custer ont presque toutes disparues à l’exception de deux vues du crâne qui sont disponibles aux Archives Nationales et que Custer déclare fausses.
Au delà de ces témoignages, il est clair qu’il y a eu manipulation tant les photos et les radios se contredisent au niveau des blessures. En fait, tous ces documents auraient sans doute du rester cachées au public.La Commission Warren elle même n’a pas pu disposer de ces documents lors de son enquête.Ces derniers sont entre les mains du Secret Service(service de sécurité du président)qui les détient depuis le soir de l’autopsie.Selon le responsable du Secret Service Robert Bouck, ils ne sont pas fondamentaux puisqu’ils ne font que confirmer les conclusions des chirurgiens de Bethesda.
Mais voilà qu’en Mai 1965, Robert Kennedy, le frère aîné de JFK, demande au Service les photos.Un caisson censé contenir les divers documents relatifs à l’autopsie ainsi que le cerveau de JFK est placé aux Archives Nationales à Washington. Le Secret Service est alors obligé de remettre des documents qu’il conservait depuis près d’un an et demi et qu’il refusa de montrer à la Commission Warren.
A son ouverture, le caisson est quasiment vide ce qui signifie que soit la famille Kennedy a pris certains documents sans avertir personne soit que le Secret Service a menti en rédigeant l’inventaire du caisson et en conservant la majorité des documents. L’hypothèse du vol est bien entendu inenvisageable dans un lieu aussi sécurisé.
Alors qui as tué Kennedy ??
Lee Harvey Oswald n’a pas fait feu sur le président Kennedy en ce 22 Novembre 1963 comme l’a affirmé la Commission Warren.
A ce jour, près de neuf américains sur dix rejettent la théorie du tireur solitaire et croient à la présence de plusieurs tireurs sur Dealey Plaza. De nombreuses preuves et faits incontestables soutiennent cette thèse qui innocente Oswald. Je vais tenter de vous les présenter.
Le matin de l’assassinat: Comment Oswald a-t -il pu introduire une arme dans le Depository?
Après avoir passé la nuit à Irving avec sa femme dans la maison des Paine qui loge cette dernière avec les enfants tandis qu’il occupe un meublé à Dallas, Oswald se rend à son travail au Texas School Book Depository sur Dealey Plaza.
C’est un voisin des Paine qui le conduit en voiture dans le centre de Big D.
Ce matin la, Wesley Frazier remarque que Lee porte un emballage à la main. Il se rappelle que Lee lui avait dit qu’il devait amener des tringles à rideaux pour son meublé de North Beckley.
Le paquet qu’il dépose à l’arrière de l’automobile sera également remarqué par la sœur de Frazier qui le décrira en détail à la Commission Warren. Tout comme son frère, la longueur du sac qu’elle indique est bien plus petite que celle de l’arme que Lee aurait utilisée pour faire feux sur Kennedy.Même démonté, la partie la plus longue du Mannlicher Carcano qui sera retrouvé au 5ème étage du dépôt de livres ne correspond pas aux deux témoignages.En effet alors que Wesley indique avec certitude que le paquet ne mesurait pas plus de 60 centimètres, le carcano calibre 6,5 dépassait un mètre.
Pourtant ce paquet faisait bien l’affaire de la Commission Warren, il permettait de renforcer la thèse du tireur solitaire qui se rend inhabituellement chez les Paine un jeudi soir puis se munit de son fusil qui date de son passage chez les Marines qu’il emballe et emmène au dépôt de livres où il travaille depuis quelques semaines seulement.Comme nous l’avons vu, la taille du paquet décrite avec précision par les Frazier est bien plus petite que le fusil. De plus s’il est vrai que Lee possède un fusil, il ne s’en sert jamais comme l’a affirmé sa femme Marina après l’assassinat.
Le jour de l’assassinat, cette dernière se souvient avoir remarqué l’arme dans le garage chose impossible si l’on s’en tient à la version officielle. Quand bien même Oswald se serait rendu avec le fusil à son travail, comment aurait il fait pour le monter et l’emmener au 5ème étage du Texas School Book Depository où travaillent de nombreux ouvriers.
Selon la Police de Dallas, un emballage aurait été retrouvé à coté du nid du tireur peu de temps après le crime.Cependant aucune photo du 5ème étage ne révèle la présence d’un tel paquet lorsque les premiers agents de police découvrent le nid du tireur. Lorsque les policiers décriront par la suite l’emballage qu’ils disent avoir vu, les derniers doutes s’envolent. En effet ils font état d’un emballage totalement propre alors que la normale voudrait qu’il soit sali par la graisse utilisée pour entretenir un fusil comme celui retrouvé en haut du dépôt de livres.De plus, un examen minutieux de l’emballage permet de dire qu’il a été grossièrement fabriqué à l’aide de matériaux disponibles au dépôt de livre.
Le « fusil du crime »:
En tentant de lier l’arme retrouvée en haut du dépôt à Lee Oswald, l’enquête officielle se couvre de ridicule.En premier lieu, il convient de décrire le fusil qui aurait servi à abattre John Kennedy.C’est un Mannlicher Carcano calibre 6,5 qui est entre autre le fusil réformé de l’armée italienne.Cette arme est sans doute l’une des plus mauvaises au monde pour ce type d’assassinat.
Le fusil en question présente par ailleurs de nombreuses anomalies: La lunette de visée est mal ajustée et l’arme est en mauvaise état ce qui complique encore un peu plus l’affaire.Outre ces détails, c’est la façon dont il se serait procuré l’arme qui est la plus surprenante. Lee aurait découpé un bon de commande dans un magazine qu’il aurait envoyé à Chicago dans une armurerie nommée Klein Sportings Goods cela sous un nom d’emprunt A.Hidell que Lee utilisait souvent au cours des années précédentes.Lorsqu’on interroge les employés de la poste d’ Oswald, aucun ne se souvient avoir reçu un tel objet ni l’avoir donné à « l’assassin du président ».
De toute façon, Lee n’aurait pas pu obtenir un paquet adressé à une autre personne.Mais ce n’est pas tout: l’exemplaire du fusil qui aurait été commandé par Oswald et qui figure sur le bon de commande retrouvé par la police et présenté aux journalistes ne correspond pas au modèle du Carcano du dépôt de livres.Mais ce qui choque le plus dans cet aspect de l’affaire, c’est l’absurdité d’un tel scénario. Pourquoi Oswald prendrait il le risque de commander un fusil qui lui servira à tuer Kennedy en laissant autant de traces derrière lui. Selon la logique la plus élémentaire il aurait pu se rendre dans n’importe quelle armurerie du Texas, l’état le plus laxiste à l’époque dans la vente d’armes, acheter un fusil en donnant un faux nom et partir le fusil en main.Il aurait été alors beaucoup plus compliqué voire impossible de le lier à l’arme du crime.
Et bien non, Oswald préfère commander à l’autre bout du pays un fusil sous un faux nom.Bien sur, lors de son arrestation, la police trouvera sur lui un portefeuille contenant une carte au nom d’A. Hidell qui le lie à l’arme du crime. Cela semble d’ailleurs faux puisque à l’écoute des communications du DPD, lorsque Lee est emmené au commissariat, on ne retrouve pas mot d’une telle carte. Les policiers sur place confirmeront ce fait.De plus, le fait de retrouver un portefeuille sur lui est suspect puisque deux autres seront découverts au domicile des Paine et sur le lieu de l’assassinat de l’agent Tippit ce qui fait un peu beaucoup pour un seul homme.
Problème de timing:
Une autre preuve dédouane Lee Harvey Oswald de l’acte qui lui est reproché c’est à dire le meurtre de John Fitzgerald Kennedy.
Jusqu’à 12h15-12H20, un employé noir du Texas School Book Depository nommé Bonnie Ray Williams a affirmé avoir occupé le 5ème étage de l’immeuble sans observer quoi que ce soit de particulier ni apercevoir Lee Harvey Oswald.
Entre le moment où Williams quitte les lieux vers 12h20 et le passage du président programmé à 12H25, Lee Oswald serait monté l’arme sous le bras au 5éme étage, aurait assemblé son fusil, ce qui prend quelques minutes, avant d’empiler de lourds cartons remplis de livres pour fabriquer un abri censé le protéger de la foule qui se presse au bas du bâtiment.
Le nid du tireur est composé de nombreuses boites de près de 25 kilos chacune qui ont du être déplacées et empilées par le seul Oswald et cela en moins de cinq minutes.En effet Lee ne sait pas que le défilé a un peu de retard et qu’il ne pénétrera sur Dealey Plaza qu’à 12H30.Ainsi il dispose de moins de cinq minutes pour déplacer l’équivalent de centaines de kilos avant de se mettre en position de tirs et de réaliser une prouesse balistique extraordinaire qui ne sera jamais égalée par la suite. Tout cela sans laisser d’empreintes sur les cartons bien évidemment.
Si on ne peut nier que des hommes se soient introduit au 5ème étage du dépôt de livre et que vraisemblablement un ou deux coups de fusil aient été tirés de cette fenêtre, il est totalement faux de placer Oswald en tireur solitaire comme le démontrent ces faits.
Ou se trouve Oswald pendant l’assassinat?
A la suite de son arrestation au Texas Théâtre, Lee déclarera aux policiers qu’il se trouvait à la cafétéria du premier étage au moment des coups de feux.Il se souvient d’ailleurs de la présence de deux hommes noirs dans la même salle.Ces derniers confirmeront les dires de l’assassin présumé.
Juste après les coups de feux, un officier de police motorisé présent dans le défilé jette sa moto à terre et court vers le dépôt de livres d’où il pense que les coups de feux ont été tirés.En effet l’envol d’une colonie de pigeons du toit du building après la fusillade l’intrigue immédiatement.Alors qu’il se presse vers l’entrée, il heurte le gérant du dépôt Roy Truly qui se trouve sur les marches de l’entrée principale.L’officier Marion Baker lui demande expressément de le guider vers le haut du Texas School Book Depository.
Les ascenseurs étant bloqués, ils gagnent rapidement l’escalier et commencent à monter.
Au premier étage, le policier Baker jette un coup d’œil dans la salle qui jouxte l’escalier et remarque un homme qui marche tranquillement tout en s’éloignant de lui.Par réflexe, l’agent l’interpelle et lui demande de donner son identité.Alors qu’un pistolet est pointé sur lui, le jeune homme qui porte à la main une bouteille de Coca Cola ne semble absolument pas effrayé et répond tranquillement.Le responsable du dépôt qui arrive quelques instants après l’officier de police reconnaît cet homme qui travaille au depôt de livres.
Cet homme se nomme Lee Harvey Oswald. Ainsi, moins de deux minutes après l’assassinat, l’agent Marion Baker croise l’auteur présumé du crime au premier étage de l’immeuble sirotant tranquillement une boisson. Lors de son témoignage, Baker affirmera que Lee n’avait absolument pas l’air fatigué ni essoufflé lorsqu’il le rencontre. Si l’on s’en tient à la thèse du tireur solitaire, tout cela devient absolument comique.Ainsi Oswald aurait mis en place un empilement de lourds cartons en moins de cinq minutes avant de se poster à la fenêtre et de réaliser des tirs d’une précision inégalable.
Puis il se serait empressé de courir à l’autre bout de l’étage en contournant les nombreux obstacles du dépôt pour y cacher son arme en prenant le soin de la nettoyer rapidement avant de dévaler à toute vitesse les escaliers menant au premier étage et de se présenter le plus calmement du monde devant un policier armé, un coca cola à la main qui plus est.
Il est absolument inconcevable d’approuver un tel scénario surtout si l’on prend en compte la rapidité de réaction de Marion Baker après les coup de feux.Le policier a déclaré avoir immédiatement pensé au dépôt et décrit son allure comme une sorte de galop.
Sa rencontre avec Roy Truly témoigne bien de sa rapidité puisque que ce dernier a été bousculé par l’énergique policier texan. D’ailleurs le gérant du Depository se souvient que la bousculade s’est produite quelques instants à peine après l’assassinat.
On peut donc affirmer, preuves chiffrées à l’appui que Lee ne pouvait pas être au premier étage du dépôt avant Baker s’il était l’assassin. Le détail de la bouteille de Coca renforce cette conviction dans la mesure où Oswald a du passer au moins trente secondes pour l’obtenir du distributeur du building qui est un modèle extrêmement lent.
Dans le souci d’imposer sa thèse, la Commission Warren fera une reconstitution de l’évènement avec notamment l’officier de police Baker.Même en prenant comme référence le temps maximum de Baker et le temps minimum de Lee Oswald(ou plutôt de l’homme chargé de refaire son parcours), la version officielle ne colle pas. Si l’on rajoute l’histoire du Coca, cela alourdit encore l’erreur de la Commission. Denier détail relatif à ce fait, alors que Lee est censé avoir descendu les escaliers pour se rendre en bas du dépôt, aucune des personnes ayant déclaré avoir utilisé l’escalier ne se rappellera avoir croisé Oswald après les coups de feux.
Tout simplement impossible:
Quand bien même Lee se serait trouvé armé au 5ème étage du Texas School Book Depository, était il capable de réaliser la prouesse qu’on lui a attribué? La réponse est évidemment négative.
S’il est vrai qu’Oswald savait utiliser un fusil depuis son passage chez les Marines, il est impossible qu’il ait tiré de façon aussi précise dans un laps de temps aussi réduit.
Si l’on se rappelle de son passé de militaire, Lee était considéré par son supérieur comme un tireur très moyen (« a rather poor shot ») et les test de tirs ne lui permettaient d’atteindre de justesse que le rang intermédiaire dans une classification qui en comprenait trois.De plus ce résultat survenait après des semaines d’exercices et d’entraînement à balles réelles.Ces camarades se souviennent également d’un tireur très moyen pour ne pas dire mauvais ce qui lui a valu le surnom de « Shitbird ». Par la suite Lee ne se servira plus d’armes comme il l’a clairement dit lors de son interrogatoire. D’ailleurs aucune sorte de matériel d’entretien pourtant indispensable ni aucune balle ne seront retrouvés par la police de Dallas dans ses affaires.Mais ceci n’est qu’un détail en comparaison de la suite.
Ce 22 Novembre, Lee aurait réalisé à l’aide du plus mauvais fusil léger du monde une série de tirs qu’aucun tireur d’élite n’a jamais pu égaler par la suite notamment lors des reconstitutions du crime organisé par la Commission qui indiquera pourtant en toute mauvaise foie que la performance d’ Oswald n’était pas difficile à effectuer.
En fait on a essayé de nous faire croire que Lee se serait posté à cette fenêtre avec ce Mannlicher Carcano usé et à la lunette de visée déréglée, aurait attendu que la voiture du président ait tourné sur Elm Street avant de faire feux.
Pourquoi ne pas l’avoir abattu lorsque la limousine de JFK s’approche par Houston Street?
L’objectif est proche et arrive de face.De plus la cible est dégagée, il n’y a pas d’obstacles comme sur Elm Street (un énorme chêne du Texas bloque la vue d’un tireur faisant feu depuis le dépôt lors du premier tir décrit par la Commission)et la voiture s’approche du dépôt ce qui veut dire que plus les secondes s’égrènent plus les tirs sont proches de la cible.Au delà de cette remarque de bon sens, Lee ne peut pas avoir tué le président.
Selon la Commission Warren, Oswald aurait en effet manqué le premier de ses trois tirs qui était pourtant le plus facile. N’ayant pas peur d’être ridicule, elle renchérit qu’ Oswald n’a pas seulement manqué le président mais carrément l’imposante limousine ce que même un amateur ne pouvait pas faire.
Cette contre vérité totale a été imposée à la Commission par un témoin du crime nommé James Tague qui se trouvait au niveau du Triple Underpass lors des coups de feux. Cet homme qui se trouve debout devant le mur en béton du tunnel à trois voies a été blessé par un éclat de béton qui s’est détaché sous l’impact d’une balle perdue. Vu sa position, le tir ne pouvait provenir du dépôt de livres.
En outre il a clairement affirmé que sa blessure était survenu après le premier tir qu’il a pris pour un raté de moteur.
D’abord totalement désintéressée par ce récit, la Commission établira dans un premier temps le scénario suivant: Il y a eu trois coups de feux sur Dealey Plaza, trois comme le nombre de douilles prétendument retrouvées au 5e étage du Texas School Book Depository.Le premier tir blesse Kennedy à de nombreux endroits, le second est responsable des multiples blessures du Gouverneur Connaly qui se trouve juste devant JFK et le troisième fait exploser la tete du président.
Pourtant cette belle mécanique sera enrayée par un grain de sable. Un journaliste qui avait rencontré Tague après l’assassinat est en possession d’une photo qui montre bien le morceau de béton manquant du Triple Underpass.Ainsi les hommes de Warren se voient contraint de trouver une autre version des faits.
Leur tache devient immédiatement plus difficile: En effet, Oswald étant le seul tireur, la blessure de James Tague provient donc d’une balle tirée du haut du dépôt de livres.A cela s’ ajoute une deuxième balle pour l’ultime tir fatal à la tête qui achève Kennedy. Bien que Tague ait affirmé que sa blessure se soit produite après le premier coup de feux, la Commission ne peut valider cela car toute la théorie du tireur solitaire tomberait à l’eau.
En effet, le film de Zapruder est catégorique: Il se produit exactement 5,6 seconde entre le moment où JFK porte les mains à son coup et l’instant précis ou une puissante détonation projette sa tête en arrière et sur la gauche. Quand on sait qu’il faut 2,3 secondes au minimum pour recharger le Mannlicher Carcano d’Oswald, vous comprenez aisément qu’il était impossible d’intercaler un autre tir dans ce court laps de temps. Il est cependant très avantageux de placer ce tir manqué bien avant les autres.Toute contrainte de temps est alors inexistante, c’est de cette facon que la Commission Warren a cru régler l’affaire. En rallongeant la durée des tirs de 5.6 secondes à plus de 8 secondes, la Commission n’a en rien changé le problème.
Il reste toujours à expliquer l’impossible: Comment une seule balle a pu causer sept blessures à JFK et à Connaly tout en restant fixée dans l’air plus de 1,2 seconde entre les deux corps avant d’être retrouvée presque intacte à l’Hôpital Parkland sur un brancard?
Cela ne semble absolument pas inquiéter la Commission qui montera de toute pièce le mensonge le plus éhonté de l’enquête officielle, la fameuse théorie de la Balle magique.
Si vous rejetez cette théorie inventée par le jeune conseiller Arlen Specter, vous êtes par la même obligé de conclure qu’il a y eu plus de trois coups de feux.Et s’il y a eu plus de trois coups de feux cela veut dire qu’il y avait au moins deux tireurs.On parle donc désormais de complot.Complot qui impliquait le jeune Lee Harvey Oswald mais pas en tant que tireur.
Un rôle autrement plus important lui a été confié depuis le début de l’opération, celui de bouc-émissaire…
Preuves complémentaires:
Les tests à la paraffine pratiqués sur Lee qui permettent de savoir si un homme a utilisé une arme récemment se sont révélés négatifs pour les joues et positifs pour la main (Lee a tenté d’utiliser un revolver lors de son arrestation au cinéma). S’il avait utilisé un fusil, le résultat aurait du être positif aux deux tests.
Aucune empreinte d’Oswald ne sera trouvée sur la prétendu arme du crime par le spécialiste du FBI Sébastien Latona lorsqu’il reçoit le fusil à Washington le soir même du 22 Novembre.Plus tard, quelques empreintes seront découvertes par des policiers de Dallas de façon assez surprenante.
Jack Ruby est un personnage clé dans l’assassinat du président John Fitzgerald Kennedy.En réduisant au silence Lee Harvey Oswald dans les sous-sols du quartier général de la police de Dallas,cet homme âgé d’une cinquantaine d’années a fait taire à jamais la seule personne capable de livrer la vérité sur l’assassinat.A la lueur de son passé mafieux et des témoignages le liant de près à l’assassin présumé de JFK, on peut prendre la mesure du rôle de ce patron de night-club texan dans l’exécution du chef d’État américain auquel il a d’ailleurs pu assister des premières loges.
Le 24 Novembre 1963- Quartier général du Dallas Police Department -11a.m:
En ce dimanche matin de Novembre, les sous-sols du bâtiment de la police de Dallas son plein à craquer. Outre les agents de police chargés de la sécurité, des dizaines de journalistes venus du monde entier attendent la venue de l’homme accusé d’avoir assassiné John Kennedy.
Les caméras sont prêtes à filmer le transfert de l’ennemi de la nation qui doit être emmené en fourgon à la prison du comté en attendant son procès. Évidemment l’accès est strictement interdit aux civils qui ont toutefois la possibilité de suivre l’évènement à la télévision. Il est à peu près 11H du matin lorsque Lee harvey Oswald fait son apparition entouré par deux inspecteurs. Il ne doit parcourir que quelques mètres à travers la haie formée par des policiers qui tentent tant bien que mal de contenir les reporters et les photographes présents. Oswald semble calme comme à son habitude et marche d’un pas tranquille.Mais tout à coup, un homme trapu vêtu de noir et portant un chapeau se jette sur le suspect numéro un revolver au point et fait feu à bout portant.
Alors qu’Oswald s’écroule, les policiers se ruent sur le tueur et le plaquent au sol pour l’immobiliser.Dans les sous sols, la panique la plus générale règne.L’Amérique entière assiste à la mise à mort d’Oswald et se demande déjà comment un civil a pu pénétrer dans cet espace censé être interdit aux civils et protégé par la police.Outre le décès d’un homme, cet assassinat revêt une autre signification quant à l’assassinat du président Kennedy. Il n’y aura en effet pas de procès ni de témoignages de Lee Harvey Oswald qui déclarait n’être « qu’un pigeon » dans toute cette affaire.C’est un peu comme si l’on avait déchiré la pile de documents du procureur.
Rapidement, on identifie l’homme comme un certain Jack Ruby, patron d’une boîte de strip-tease au centre de Dallas. Alors que Lee est emmené d’urgence à l’hôpital Parkland Memorial où il succombera à ses blessures, Ruby est emmené par les forces de l’ordre. Interrogé sur les motifs de son acte, il témoignera avoir agi par patriotisme et pour éviter à la femme de JFK de devoir supporté le procès de l’homme qui a tué son mari.La Commission Warren se contentera de cette explication et niera totalement toute connexion entre Lee Oswald et Ruby.Un petit coup d’œil sur la vie de Jacob Rubenstein (son véritable nom) fait pourtant penser au contraire.
Ruby et la pègre:
Dans son souci de cacher la vérité, la commission chargée de l’enquête présidée par Earl Warren ne fera guère d’allusion au passé mafieux de Jack Ruby.
Il suffit pourtant d’observer la liste de ses appels téléphoniques dans les semaines précédant l’assassinat pour se faire une idée de son réseau de relations au sein de la puissante Mafia américaine. Il connaît personnellement des dizaines d’hommes de main et de membres de la pègre pour qui il travaille également de façon active.Le parrain en charge du Texas, Joseph Civello a déclaré après l’assassinat qu’il connaissait Jack « depuis au moins dix ans ». Ce dernier s’est notamment occupé d’un important trafic d’armes vers Cuba au début des années 60 et semble avoir été le responsable du jeu dans la zone Dallas-Fort Worth où il possède son propre night-club, le Carousel Club.A la suite de son arrestation, Ruby craindra que son passé illégal ne fasse surface en déclarant:
Ils vont découvrir mes voyages à Cuba, les armes et tout le reste.
Outre ses activités mafieuse, Ruby s’occupait de son club ou se réunissaient de nombreux policiers pour la plupart membres d’organisations d’extrême droite et corrompu jusqu’à l’os avec lesquels Jack entretenait d’excellentes relations et à qui il n’hésitait pas de graisser la patte.C’est dans ce lieu de débauche et de corruption que de nombreux témoins ont attesté avoir vu Lee harvey Oswald en compagnie de Ruby.
Jack Ruby connaissait Oswald:
Plusieurs employés du Club diront être certain d’avoir vu Oswald au Carousel Club dans les semaines ayant précédées le crime. C’est le cas notamment de W. Crowe qui travaillait en tant que magicien dans la boîte de Ruby et qui a confié à un journaliste de Associated Press le lendemain de la mort d’Oswald avoir rencontré Lee Harvey lors d’une soirée quelques jours avant l’assassinat, ce dernier faisant office de spectateur victime du tour de magie.
Ce n’est évidemment pas le seul employé qui fera état de la présence du tueur présumé. Madeleine Brown était une habituée du Club. Cette femme méconnue n’était autre que la maîtresse du vice président texan Lyndon Baines Johnson qui succédera à Kennedy. Elle connaissait Ruby et se souvient notamment d’une conversation où il parlait d’un certain Lee Harvey Oswald que personne ne connaissait.Lorsqu’elle apprendra, lors de la parution du rapport Warren, qu’il n’existe officiellement aucune relation entre les deux hommes, Mme. Brown sera ébahie.
A cela s’ajoutent les témoignages des danseuses du Club telle Beverly Oliver qui préféreront longtemps rester dans le silence pour éviter le sort d’une des danseuses qui a disparu mystérieusement juste après l’affaire.Si Ruby avait des liens avec Oswald cela signifierait qu’il ait pu y avoir une immense conspiration visant à tuer le président d’où la décision de plusieurs personnes de se taire pour ne pas être éliminées.
Dans le années 70, des langues se délieront à nouveau. Walter Weston était animateur du club de Ruby en 1963. Il se souvient d’une violente dispute entre Ruby et Lee.
En 1976, le mafieux de Chicago Paul Buccili relate après son arrestation une rencontre à laquelle il a participé chez Jack Ruby peu de temps avant l’assassinat avec d’autres personnes du Milieu. Il affirme clairement que Lee harvey Oswald se trouvait à cette rencontre clandestine. Ce récit est corroboré par une serveuse du nom de Ester Ann Marsh qui déclarera en 1986 avoir été chargée par Ruby de servir à boire à cinq hommes habillés de noir lors d’une réunion privée. Elle se souvient que le sixième homme de détachait du groupe par son allure.Selon elle, cet homme était Lee Harvey Oswald. Elle fera immédiatement le rapprochement lorsqu’elle le voit à la télévision après son arrestation. Ses propos recueillis par le chercheur indépendant Jim Marrs lient encore un peu plus l’assassin présumé de JFK à Ruby. Il existe une ultime preuve irréfutable de cette relation qui nous amènera naturellement à remettre en question la version officielle.
Dans leur quête de vérité, deux éminents chercheurs américains J. White et J. Marrs vont en effet faire une découverte d’une importance capitale. En fouillant les documents du fonds Marguerite Oswald (la mère de Lee), ils mettent la main sur un rapport de police relatif à un voie de fait. Daté du 10 Octobre 1963, ce papier fait état d’un appel d’une habitante de Dallas nommé Mary Bledsoe pour signaler une bagarre qui a lieu chez elle entre un de ses locataires et une autre homme.A l’arrivée des policiers, les dégâts causés sont assez importants.Priés de donner leur identité les deux hommes s’exécutent.Le premier qui loue une chambre chez M. Bledsoe dit s’appeler O.H. Lee tandis que l’autre affirme se nommer Jacob N. Rubenstein et habiter au 1203 1/2 Commerce Street.Conjointement ils décident de payer les cinquante dollars d’amende pour les dégâts.
On retrouve bien sur les deux protagonistes que sont Lee Oswald qui donne la fausse identité sous laquelle il se fera embaucher au dépôt de livres de Dealey Plaza et qu’il donnera à sa nouvelle logeuse après son expulsion de la maison de M. Bledsoe. En effet le contrat signé chez Earlene Roberts chez qui il habite dans les semaines précédant l’assassinat fait mention d’un certain O.H. Lee.
Quant au second larron, il s’agit de Jack Ruby qui tente de s’éviter des ennuis qu’il cumule avec la justice (tapage nocturne, risque d’aller en prison lié à ses fraudes fiscales) en donnant une identité proche de la vérité.Son vrai nom étant Jacob Léon Rubenstein et sa véritable adresse 1312 1/2 Commerce Street. On peut également signaler que cet incident se déroule dans le quartier d’Oak Cliff ou réside Ruby et où l’agent de police Tippit sera assassiné moins d’une heure après les coups de feux de Dealey Plaza, meurtre faussement attribué à Oswald par la version officielle.Ce portait de Jack Ruby donne tout à coup une autre vision des choses.
Pour conclure il faut préciser les faits et gestes du patron du Carousel Club pendant l’assassinat de kennedy. En effet, il se trouvait aux premières loges pour assister au crime.
L’assassinat de JFK: Ruby était bien présent:
En ce 22 Novembre, Ruby est aperçu à de nombreuses reprises sur les lieux du crime.On se souvient du témoignage de Marie Ann Mercer qui, le matin du crime, dit être passé à coté d’un Pick-up mal garé sur le bord d’Elm Street d’où un homme aurait extrait un étui de fusil pour ensuite se diriger vers le Grassy Knoll.
Lorsqu’elle est interrogée par le FBI juste après l’assassinat, elle se voit présenter des photos pour désigner le conducteur du véhicule suspect. Une seule photographie la frappe réellement, c’est celle de Jack Ruby. Juste avant les coups de feux et peu de temps après, Ruby est vu au siège du Dallas Morning News qui se trouve à deux pas de Dealey Plaza. Mieux encore une photographie d’un reporter pris devant le dépôt de livres dans les instants suivant la fusillade dévoile un personnage ressemblant comme deux gouttes d’eau à Ruby. Bien sur, la partie située à droite de la photographie montrant l’assassin d’Oswald sera coupée dans le rapport Warren.
Après l’arrestation de Lee, Ruby sera omniprésent dans le locaux de la police de Dallas où il connaît la plupart des policiers par leur prénom, ces derniers fréquentant régulièrement son night-club. Les photos et films tournés par les cameramen pendant ces deux folles journées où des centaines de journalistes s’entasseront dans les locaux du DPD sont des preuves incontestables.
On se souvient notamment d’une conférence de presse où le procureur du Texas Henry Wade ne se souvenant plus du nom de l’organisation pro-castriste fondée par Oswald à la Nouvelle Orléans est aidé par un homme portant des lunettes noires au fond de la salle…Jack Ruby. Comment pouvait il connaître le « Fair play For Cuba Committee », minuscule antenne du groupuscule dont Lee était le seul membre?
Pour conclure, les conditions dans lesquelles Ruby est parvenu dans les sous sols du quartier général de la police sont à charge pour la police de Dallas qui semble impliquée par l’intermédiera de certains de ses membres dans l’assassinat du président Kennedy. Alors que la Commission prétend que Jack Ruby a pénétré par la sortie du sous-sol, la vérité est tout autre.En effet la seule issue menant au lieu du transfert était balayée par les caméras de télévision bien avant l’heure prévue. Or aucune trace de Ruby n’est visible sur les documents vidéos.Personne ne l’a vu entrer par cet endroit. Deuxième solution, il est aidé par des complices de la police pour perpétrer son forfait.
Conclusion
J’en aurait aucune si ce n’est que j ‘ai la certitude qu’il y a eu complot.
Certains notables dans le cadre des enquêtes sur l’assassinat du président Kennedy.
Dean Adams Andrews : Avocat de la Nouvelle-Orléans, ancien procureur adjoint à temps partiel de la paroisse de Jefferson et ancien associé du procureur de la Nouvelle-Orléans Jim Garrison, qui devint par la suite un témoin hostile. Andrews a fourni au FBI le pseudonyme de Clay Bertrand, qui a alimenté les poursuites ultérieures de Garrison et suggéré qu’il s’agissait d’un pseudonyme utilisé par Clay Shaw. L’évolution du témoignage d’Andrews a permis de réfuter bon nombre de ses affirmations antérieures, mais d’autres faits suggèrent que si certaines affirmations majeures concernant Shaw ne sont pas fiables, l’affirmation selon laquelle il aurait pu utiliser l’alias Bertrand est étayée par des preuves officielles.
Orlando Bosch Avila : Pédiatre formé aux États-Unis dans les années 1950, il a transféré ses compétences à Cuba tout en soutenant la révolution de Fidel Castro. Cependant, avec le temps, il a perdu ses illusions et Bosch a rejoint l’opération 40, soutenue par la CIA, qui visait le régime de Castro. Il a dirigé le Mouvement insurrectionnel de redressement révolutionnaire (MIRR), un groupe d’exilés cubains, et a ensuite formé l’organisation anti-castriste Coordination des organisations révolutionnaires unies (CORU). Par la suite, il a été considéré comme un terroriste militant exilé à Cuba, responsable de plusieurs attentats meurtriers. Il a été accusé mais acquitté d’un attentat antérieur contre le vol Cubana 455.
William « Guy » Banister : Il a été à la fois commissaire adjoint de la police de la Nouvelle-Orléans et agent spécial du FBI avant d’être considéré comme un suspect par le procureur de la Nouvelle-Orléans, Jim Garrison, dans le cadre de l’enquête sur la mort du président Kennedy. Banister a aidé Sergio Arcacha Smith, exilé anticastriste, à former une petite organisation d’exilés. Il était fréquemment en contact avec l’ancien criminel de la Nouvelle-Orléans David Ferrie et l’escroc Jack Martin. Ce document de la Central Intelligence Agency montre que Guy Banister était un informateur de la CIA, bien que des fonctionnaires et Banister lui-même aient affirmé pendant des décennies qu’il n’avait aucun lien avec l’Agence.
Antonio Carlos Veciana Blanch : Comptable, il est l’un des fondateurs du groupe d’exilés cubains Alpha-66 qui affirme avoir eu des contacts non vérifiés avec Lee Harvey Oswald, David Atlee Phillips, agent de la Central Intelligence Agency, et James Walton Moore, agent de la Central Intelligence Agency. Veciana a commencé à courtiser les autorités américaines avec ses récits dans les années soixante-dix, mais ses affirmations ont évolué avec chaque nouveau problème découvert dans les multiples récits qu’il a fournis au fil du temps. D’importantes tromperies et erreurs de caractérisation de la part de Veciana ont rendu certaines parties de son histoire mythiques et dépourvues de la plupart des preuves vérifiables.
Carlos Jose Bringuier : Il s’agit d’un exilé cubain dont le frère a combattu et a été capturé dans la Baie des Cochons. Bringuier a servi le Directorio Revolucionario Estudiantil (DRE), un groupe d’exilés cubains financé en sous-main par la Central Intelligence Agency. Bringuier a eu une célèbre confrontation publique avec Lee Harvey Oswald et a ensuite débattu avec lui, cherchant à utiliser l’événement pour attirer le plus d’attention possible. Il s’est également engagé à diffuser la propagande selon laquelle Fidel Castro était responsable de l’assassinat du président John F. Kennedy afin d’assurer l’invasion militaire américaine de Cuba. Ce document fournit des informations sur le parrainage de la DRE par Bringuier et l’Agence et présente d’autres motivations possibles pour qu’Oswald soit ciblé par le propagandiste.
Manuel Francisco Artime Buesa : Qualifié à plusieurs reprises dans la presse de « golden boy » de la CIA, l’Agence a aidé Artime à s’échapper de Cuba et à passer aux États-Unis. Après avoir entraîné et dirigé des forces lors de l’infortunée attaque de la Baie des Cochons, les forces du régime de Castro l’ont capturé et ont réussi à obtenir une rançon pour les États-Unis. Artime a fini par prendre le contrôle du Mouvement pour le redressement révolutionnaire (MRR), un vaste groupe d’exilés bénéficiant d’un soutien et d’un financement officiels considérables qui lui permettaient de fonctionner indépendamment de toute surveillance. Les dirigeants des services de renseignement américains finiront par se rendre compte du danger que représentent des groupes aussi importants fonctionnant de manière indépendante, mais avant de s’en rendre compte, les autorités ont richement investi dans les opérations d’Artime. Un document interne de la CIA révèle que près de cinq millions de dollars ont été dépensés pour les seules dépenses opérationnelles liées à Artime entre juin 1963 et juin 1964. En outre, les fonctionnaires ne pouvaient pas garantir qu’ils n’obtiendraient pas de financement à des fins inconnues et illégales.
Richard Scully Cain : Il a servi dans la police de Chicago, en tant que détective privé, et a été enquêteur en chef pour le bureau du shérif du comté de Cook à Chicago. Cain était en outre un informateur du Federal Bureau of Investigation et de la Central Intelligence Agency, qui ont signalé aux autorités américaines ses fréquentes fréquentations avec divers exilés cubains. Il était en outre le chauffeur du chef de la mafia de Chicago, Sam Giancana, et était associé à plusieurs figures du crime organisé. Un document connexe indique qu’en mille neuf cent soixante-trois, Cain a présenté un rapport non confirmé selon lequel des membres du comité Fair Play for Cuba (FPCC) ont tenu une réunion secrète pour discuter de l’assassinat du président Kennedy. Des hommes masqués ont ensuite fait irruption dans un restaurant de Chicago et ont abattu Cain en public afin d’envoyer un message sur ses loyautés diverses.
Earling « Jim » Carothers Garrison : Il est le procureur de la Nouvelle-Orléans qui a lancé une enquête sur l’assassinat du président Kennedy en 1967, visant l’homme d’affaires et informateur de la CIA Clay Shaw. L’affaire de Garrison s’est révélée sensationnelle et a ravivé l’intérêt du public pour plusieurs questions que la commission Warren n’avait pas réussi à résoudre. Cependant, en raison des contraintes de sa juridiction, l’affaire de Garrison était limitée dans sa portée et souffrait d’interférences officielles, de témoins malhonnêtes et d’un nombre limité de suspects viables. L’enquête de Garrison n’a pas permis de déterminer l’existence d’un complot d’assassinat, mais elle a permis d’élargir les pistes de l’affaire plus vaste et de vérifier les problèmes rencontrés lors d’enquêtes antérieures.
John Henry Hill : Il était millionnaire et vivait principalement du commerce du pétrole. Il a été accusé d’avoir menacé d’organiser des hommes influents qui pourraient traiter avec le président Kennedy si sa politique restait opposée aux intérêts financiers de Hill. La déclaration de Jo Beth Hill, son épouse, situe John Henry Hill près du lieu d’une étrange rencontre avec des témoins qui ont observé un homme armé de grande taille. Le témoin oculaire John Lawrence corrobore la déclaration de Philip Hathaway concernant la description physique d’un homme de grande taille à l’angle des rues Commerce et Akard, près de l’hôtel Baker, armé d’un fusil. Hill correspond à la couleur de cheveux, au poids et à la taille décrits par les témoins, il venait d’acheter un fusil et se trouvait à quelques pâtés de maisons de Dealey Plaza plus d’une demi-heure avant l’assassinat. Bien que ces preuves n’impliquent pas Hill dans l’immédiat, elles confirment qu’une personne pouvait entrer dans la zone avec une arme et passer inaperçue aux yeux des autorités.
John Edgar Hoover : Le Federal Bureau of Investigation a été créé en 1935 sous la direction de Hoover. Ses pouvoirs et ses moyens financiers ont été accrus afin de contrôler les services de renseignements nationaux et internationaux. Après la Seconde Guerre mondiale, le pouvoir de Hoover a été réduit par la création de la Central Intelligence Agency, un affront que Hoover n’a jamais pardonné. Hoover a pris pour cible tout groupe officiel considéré comme une menace pour le Bureau ou sa réputation, y compris la Commission présidentielle. Il a supprimé des informations, trompé d’autres enquêteurs et cherché à détruire ceux qui contestaient son autorité. L’ancien directeur adjoint du FBI, William Sullivan, a déclaré que, parmi les attaques contre la CIA et la Commission, Hoover divulguait régulièrement des informations secrètes afin d’influencer la réaction du public et de devancer d’autres conclusions officielles. Sullivan ajoute que « …si la Commission Warren pouvait être démantelée, le FBI aurait meilleure mine ». Malheureusement, c’est l’organisation de Hoover qui a mené l’enquête de la Commission.
Meyer Lansky : Il est arrivé aux États-Unis en tant qu’immigrant polonais avec sa famille en 1911 et son nom a été changé de Maier Suchowljansky à sa version actuelle. Lanksy a noué des relations étroites avec Benjamin « Bugsy » Siegal et Charles « Lucky » Luciano, tous deux tristement célèbres. Il a ensuite entamé une série d’opérations criminelles lucratives axées sur les jeux d’argent, la vente illégale d’alcool et diverses entreprises commerciales, dont plusieurs casinos cubains. Avant que le gouvernement américain ne mette au point les plans d’assassinat de Castro, Lansky a rencontré le dirigeant cubain anticastriste Manuel « Tony » Varona pour discuter du gouvernement Castro. Santo Trafficante, associé de Lansky et chef de la mafia de Tampa, a suggéré à la CIA d’utiliser Varona lors des complots ultérieurs contre Castro.
Manuel Antonio de Varona Loredo : Tony Varona s’est associé aux chefs de la mafia Santo Trafficante, Sam Giancana et Meyer Lansky pour l’assassinat de Fidel Castro. Varona a dirigé le Frente Revolucionario Democratico (FRD), soutenu par la CIA, qui a servi d’organisation de façade pour recruter les forces utilisées dans la Baie des Cochons et pour mener des actions politiques et paramilitaires contre Cuba, tout en tentant d’unifier les dizaines de factions d’exilés cubains.
George de Mohrenschildt : Homme d’affaires européen itinérant qui a fourni à plusieurs reprises des informations sur des entreprises à la Central Intelligence Agency. Il a également apporté une aide financière à Lee et Marina Oswald et a été leur associé occasionnel. De Mohrenschildt a écrit un manuscrit incomplet avant son suicide prématuré. Un document atteste qu’en plus de ses contacts d’informateur avec la CIA, la seconde femme de George a servi de réceptionniste dans le cadre d’un projet secret de l’Agence et que celle-ci a utilisé son frère Dmitri S. von Mohrenschildt dans le domaine du renseignement extérieur. Les de Mohrenschildt notent qu’ils sont peut-être les seules personnes à avoir été associées à la fois aux familles Oswald et Kennedy.
Edward Pierpont Morgan : ancien agent du FBI, Morgan a quitté le Bureau en 1947 pour ouvrir un cabinet d’avocats spécialisé dans le droit fiscal et le droit international. Il a ensuite été conseiller principal de la sous-commission des relations étrangères du Sénat et a été l’avocat d’un employé de la CIA, Robert Maheu, et du gangster Johnny Roselli, qui lui ont parlé des complots de l’Agence Castro avec la mafia.
Lee Harvey Oswald : Il s’agit de l’ancien marine de 24 ans, transfuge de l’Union soviétique, que la commission présidentielle (Warren) a accusé d’être l’assassin solitaire du président Kennedy, en dépit de preuves substantielles contraires. Plusieurs fonctionnaires et agences du gouvernement américain ont nié tout lien ou toute surveillance d’Oswald, malgré la quantité toujours croissante de preuves officielles déclassifiées qui réfutent ces affirmations. Le dossier suivant de la CIA prouve que plus de trente documents officiels manquaient au dossier 201 de la Central Intelligence Agency d’Oswald, ce qui suggère une incompétence officielle généralisée ou l’intention de supprimer des preuves.
Manuel (Manolo) Ray Rivero : ingénieur réputé, il a été ministre des travaux publics sous le régime de Castro. Après sa rupture avec le gouvernement cubain, Ray a fondé deux groupes anticastristes importants soutenus par la CIA, le Movimiento Revolucionario del Pueblo (Mouvement révolutionnaire du peuple) (MRP) et la Junta Revolucionaria Cubana (JURE). Ray a tenté d’utiliser des membres à l’intérieur de Cuba pour lancer plusieurs opérations clandestines et de sabotage qui ont échoué. Ray s’est toujours opposé aux tentatives d’unification avec d’autres groupes d’exilés pour tenter de maintenir un pouvoir quasi exclusif au sein des groupes qu’il a fondés. Les autorités finiront par classer le dernier groupe de Ray parmi les menaces d’exil autonome financées en 1964. Par la suite, la sœur de Ray affirme qu’il avait l’intention de dénoncer la CIA et de détruire le réseau de renseignement cubain de l’Agence.
Jack Leon Ruby : Deux documents officiels révèlent que Jack Ruby, l’assassin de Lee Harvey Oswald, était un informateur improductif du FBI et avait connaissance de certaines opérations de la mafia. Cette information est contraire à la déclaration juridique faite par J. Edgar Hoover à la Commission présidentielle, selon laquelle Ruby et Oswald n’avaient aucun lien avec le FBI. Cette tromperie éhontée remettrait en question les nombreuses affirmations de Hoover et les preuves que son organisation a dissimulées aux responsables de l’enquête.
Clay Laverne Shaw : Clay Shaw, chef d’entreprise de la Nouvelle-Orléans et informateur de la Central Intelligence Agency, a été accusé par le procureur Jim Garrison et déclaré non coupable de l’assassinat du président Kennedy. Garrison a notamment accusé Clay Shaw d’avoir utilisé le pseudonyme de Clay Bertrand sur la base d’affirmations de témoins en constante évolution. Le premier document présente un dossier de la CIA sur les contacts de Shaw et le second document présente deux informateurs anonymes du FBI qui déclarent que Clay Shaw était Clay Bertrand.
Walter James Sheridan : Sheridan était un ancien enquêteur du FBI pour la division de la sécurité spéciale, un employé du ministère de la justice et un journaliste de la chaîne de télévision NBC. Sheridan a entretenu des relations avec des responsables de premier plan, dont le procureur général Robert Kennedy. Il a également joué un rôle essentiel dans la création d’une émission de la NBC qui aurait « enterré » Jim Garrison, selon des responsables de la CIA.
Sergio Vicente Arcacha Smith : Exilé cubain et escroc présumé, Smith était le délégué à la Nouvelle-Orléans du Frente Revolucionario Democratico (FRD) anticastriste et était l’associé de Guy Banister et du militant anticastriste David Ferrie. Il a fini par perdre son poste en raison d’un prétendu détournement de fonds et probablement de ses tentatives d’intervention en faveur des activités illégales de David Ferrie à la Nouvelle-Orléans.
Harold Weisberg : Journaliste, ancien membre de l’Office of Strategic Services, enquêteur du Sénat et chercheur, Harold Weisberg a été l’un des plus fervents détracteurs de la Commission Warren. Il a également fait partie des chercheurs qui ont influencé l’affaire Garrison et a écrit de nombreux ouvrages sur les affaires du président Kennedy, du Dr King et du sénateur Kennedy.
je suis tiraillé entre le complot et le fait que c’est la folie d’un homme mais j’avoue avoir une preference pour le complot..Kennedy etait le president du changement et puis surtout il a redonné a la communauté noire américaine les droits et la dignité dont ils avaient droit comme le reste des citoyens americains….je pense que dans une Amérique tres klux klux klan de l’époque ça ne devait pas plaire après ça peut etre une des raisons et ne pense pas la seule et surtout c’est louche qu’Oswald s’est fait tuer après…
Je suis du même avis qu’emmaline, JFK » était le président du
changement » comme tu l’as dit, ça n’a pas plu au gouvernement américain toutes ses actions…Je penche pour un complot.
Cependant libre à chacun de croire et de penser ce qu’il veut.
On prétexte souvent la folie d’un homme à un assassinat que l’on veut cacher…