ATTENTION. CERTAINES PHOTOS PEUVENT CHOQUER LES AMES LES PLUS SENSIBLES.ATTENTION

Selon certaines sources JFK aurait été assassiné par un certain Lee Harvey Oswald , Malcolm Wallace , ou par Max ????

Personnellement j’ai jamais cru a la thèse du tueur isolé.Je pense plus a un complot des riches milliardaires Texans plutôt qu’un complot anti Castriste.

Vidéo retraçant l’histoire de cet assassinat.

Lançons un débat ,mais avant de nous lancé dans cette aventure nous allons revoir qui sont les personnages cités plus haut.

Lee Harvey Oswald

Naissance: 18 octobre 1939 – Mort: 24 novembre 1963

Si tout le rapporte au crime,rien ne le confirme.Aucune preuves réelles n’a été dévoilé jusqu’à maintenant.

Essayons d’en savoir plus sur lui:

Né à La Nouvelle-Orléans en Louisiane, il connaît une enfance difficile. Son père, Robert Lee Oswald, meurt deux mois avant sa naissance. Sa mère, qui dut l’élever seule ainsi que son frère, Robert, et son demi-frère, John Pic, était une mère protectrice et dominatrice. La famille eut une vie assez instable. Avant qu’il ait 18 ans, Lee avait connu 22 domiciles et 12 écoles, généralement à la Nouvelle-Orléans et à Dallas.

Taiseux et solitaire, Oswald se montre capable de violence . Alors qu’Oswald et sa mère vivaient à New York, au début de 1953, ses problèmes scolaires et caractériels entraînèrent une évaluation psychiatrique sur ordre de l’administration qui fut assez préoccupante pour entraîner sa mise sous probation par un juge de la jeunesse. La situation ne s’arrangea pas vraiment et le juge de la jeunesse suivant Lee envisageait son placement. Mais avant qu’une décision quelconque soit prise, Marguerite quitta New York début 1954 et emménagea à La Nouvelle-Orléans.

Oswald fréquenta l’école de manière irrégulière et n’obtint jamais son diplôme de secondaire. Oswald eut toujours une mauvaise orthographe, et ses erreurs amènent à estimer qu’il souffrait de dyslexie . Malgré ces problèmes, il était un lecteur avide et a toujours pensé qu’il était plus intelligent que les gens qui l’entouraient. À partir de ses 15 ans, selon ses propres déclarations , Oswald s’intéresse au marxisme . Peu après, à la Nouvelle-Orléans, il achète le Capital et le Manifeste du Parti communiste . En octobre 1956, Lee écrit au président du Parti Socialiste américain une lettre où il se déclare marxiste et affirme étudier les principes marxistes depuis quinze mois .

Pourtant, alors même qu’il lisait toute littérature marxiste qu’il pouvait trouver, Oswald préparait son entrée dans les Marines en apprenant par cœur le manuel des Marines de son frère aîné, Robert, qui était Marine. Oswald adorait ce frère dont il portait fièrement la bague du Corps et rêvait depuis longtemps l’imiter en le suivant dans la carrière. Alors même qu’il se considérait comme un marxiste, Oswald réalise son rêve d’enfance et s’engage dans les Marines une semaine après son dix-septième anniversaire.

Après les entraînements de base, d’octobre 1956 à mars 1957, Oswald reçut un entraînement spécifique destiné à la composante aérienne des Marines. Au terme de cet entraînement, le 3 mai 1957, il devint soldat de première classe, reçut l’accréditation de sécurité minimale, « confidentiel » , et suivit l’entraînement d’opérateur radar. Après un passage à la base d’El Toro (Californie) en juillet 1957, Il fut assigné à la base d’Atsugi, au Japon, en août 1957. Cette base était utilisée pour les vols de l’avion espion Lockheed U-2 au-dessus de l’URSS, et quoique Oswald n’était pas impliqué dans ces opérations secrètes, certains auteurs ont spéculé qu’il aurait pu commencer là une carrière d’espion.

Entré dans le corps des US Marines à l’âge minimal de 17 ans, plutôt petit et frêle par rapport au marine standard, Oswald subissait des moqueries que son caractère ombrageux ne faisait qu’attiser. Pourtant, cette époque au Japon semble avoir été une époque heureuse pour Oswald. Il semblait trouver sa place dans la carrière militaire et avait réussi l’examen de caporal. Il n’a cependant jamais obtenu cette promotion et a même été rétrogradé au rang de simple soldat après avoir été traduit deux fois en Cour Martiale, une première fois pour possession illégale d’une arme de poing (un Derringer) et une seconde fois pour une bagarre avec un sous-officier, ce qui lui valut en outre quarante-cinq jours de cachot. De retour aux États-Unis, Oswald fut à nouveau affecté à El Toro en décembre 1958, et commença à montrer un désintérêt de la carrière militaire. En février 1959, il demanda à passer un test de connaissance du russe auquel il eut des résultats pauvres.

C’est alors que Oswald commença à exprimer de manière claire des opinions marxistes qui n’améliorèrent pas sa popularité auprès de ses camarades. Il lisait énormément de revues en russe, écoutait des disques en russe et s’adressait aux autres soit en russe soit en contrefaisant un accent russe. Ses camarades le surnommèrent alors « ‘Oswaldskovich » .

Mi-1959, il fit en sorte de rompre prématurément son engagement dans l’armée en prétextant le fait qu’il était le seul soutien pour sa mère souffrante. Lorsqu’il put quitter l’armée en septembre 1959, il avait en fait déjà préparé l’étape suivante de sa vie, sa défection en URSS.

Oswald avait été un bon soldat, en tout cas au début de sa carrière, et ses résultats aux tests de tir, par exemple, étaient très satisfaisants . Ses résultats au tir se dégradèrent cependant vers la fin de sa carrière militaire, élément qui fut ensuite utilisé pour faire passer Oswald pour un piètre tireur. Ainsi, avec un score de 191 le 5 mai 1959, Oswald atteignait encore le niveau bon tireur, alors qu’il envisageait déjà son départ du Corps. Lors de cette séance de tir, Nelson Delgado, la seule personne qui affirma devant la Commission Warren que Oswald était un mauvais tireur, avait fait 192. En fait, selon les standards du Corps de Marines, Oswald était un assez bon tireur.

Le voyage d’Oswald en URSS était bien préparé : il avait économisé la quasi-totalité de son salaire de Marine et obtint un passeport en prétendant vouloir étudier en Europe. Il embarqua le 20 septembre sur un bateau en partance de la Nouvelle-Orléans à destination du Havre où il arriva le 8 octobre pour partir immédiatement vers Southampton puis prit un avion vers Helsinki (Finlande) où il atterrit le 10 octobre. Dès le lundi 12, Oswald se présenta à l’ambassade d’URSS et demande un visa touristique de six jours dans le cadre d’un voyage organisé, visa qu’il obtient le 14 octobre.

Oswald quitta Helsinki par train le 15 octobre et arriva à Moscou le 16. Le jour même, il demande la citoyenneté soviétique, que les Soviétiques, à sa grande surprise, lui refusèrent au premier abord, considérant que sa défection serait de peu de valeur.

Après qu’il eut commis une tentative de suicide, les Soviétiques lui accordèrent le droit de rester, d’abord temporairement, à la suite de quoi Oswald tenta de renoncer à sa citoyenneté américaine, puis pour un temps indéterminé.

Les Soviétiques envoyèrent Oswald à Minsk en janvier 1960, où il fut surveillé en permanence par le KGB pendant les trois ans que dura son séjour. Oswald sembla tout d’abord heureux : il avait un travail dans une usine métallurgique, un appartement gratuit et une allocation gouvernementale en sus de son salaire, bref une existence confortable selon les standards de vie soviétiques.

Le fait que le U2 de Francis Powers ait été abattu par les Soviétiques après l’arrivée d’Oswald, en mai 1960, a éveillé la curiosité de certains auteurs se demandant quel lien cet évènement pouvait avoir avec le passage de Oswald sur la base d’Atsugi, une des bases d’où des U2 décollaient. Cependant, outre que Oswald ne semble jamais avoir été en contact avec des secrets sur Atsugi, personne n’a jamais réussi à établir un lien entre Oswald et cet évènement. Ainsi, le U2 de Powers a été abattu par une salve de missiles SA-2 chanceuse (à moins que Powers ait été sous son plafond normal) et aucun renseignement spécial n’a été nécessaire à cet effet.

L’enthousiasme initial d’Oswald pour sa nouvelle vie semble s’être émoussé au même rythme que l’intérêt qu’il avait éveillé au début dans la ville de Minsk où il était le premier Américain. Par ailleurs, Oswald, surnommé « Alek » par ses amis, considérait durement la bureaucratique Union Soviétique, qu’il finit par voir comme une perversion du socialisme.

En mars 1961, alors qu’il avait eu quelques contacts avec l’ambassade américaine à Moscou en vue de son retour aux États-Unis, Oswald rencontra Marina Alexandrovna Medvedeva Nikolayevna Prusakova, une jeune étudiante en pharmacie de 19 ans, lors d’un bal au Palais des Syndicats. Ils se marièrent moins d’un mois plus tard et s’installèrent dans l’appartement d’Oswald. En mai 1961, Oswald réitère à l’ambassade US son souhait de retourner aux États-Unis, cette fois avec son épouse. Lors d’un voyage en juillet à Moscou, Oswald alla avec Marina, enceinte de leur premier enfant, à l’ambassade américaine pour demander un renouvellement de son passeport. Ce renouvellement fut autorisé en juillet, mais la lutte avec la bureaucratie soviétique durerait bien plus longtemps. Lorsque le premier enfant des Oswald, June, naquit en février 1962, ils étaient encore à Minsk. Finalement, ils reçurent leur visa de sortie en mai 1962, et la famille Oswald quitta l’URSS et embarqua pour les États-Unis le 1er juin 1962.

La famille Oswald s’installa à Fort Worth (près de Dallas) mi-juin 1962, d’abord chez son frère Robert, ensuite chez sa mère, début juillet, et enfin dans un petit appartement fin juillet, lorsque Lee eut trouvé un travail dans une usine métallurgique. Le FBI s’intéressa naturellement à Lee, et eut à cette époque deux entretiens avec lui, le 26 juin et le 16 août. Les entretiens n’ayant pas révélé quoi que ce soit de notable, l’agent chargé du dossier demanda à Oswald de contacter le FBI si des Soviétiques le contactaient, et conclut ses rapports en recommandant de fermer le dossier. Cependant, dès le 12 août, Lee écrivait au Socialist Workers Party, un parti trotskiste, pour leur demander de la documentation, et continuait à recevoir trois périodiques russes.

Vers la fin août, les Oswald furent introduits auprès de la petite communauté de Russes émigrés de Dallas. Ceux-ci n’aimaient pas particulièrement Oswald, qui se montrait désagréable, mais prenaient en pitié Marina, perdue dans un pays dont elle ne connaissait même pas la langue que Lee refusait de lui apprendre. C’est dans le cadre de ces contacts qu’Oswald rencontra George de Mohrenschildt, un riche excentrique d’origine russe de 51 ans qui prit Oswald en sympathie. Les relations entre Oswald et Mohrenschildt ont été source de nombreuses spéculations, et certains ont cru voir dans Mohrenschildt un agent ayant participé à une conspiration, sans jamais trouver d’élément factuel à l’appui de l’hypothèse.

En octobre 1962, Oswald quitta son travail à Fort Worth et déménagea à Dallas, où il trouva rapidement une place dans une firme de reprographie, Jaggars-Chiles-Stovall. En novembre, les relations entre Lee et Marina se détériorèrent au point que Marina le quitta temporairement. Ses amis russes l’accueillirent en l’encourageant à quitter Lee définitivement. Lorsqu’elle lui pardonna quelques jours plus tard, ses relations privilégiées avec la communauté russe se refroidirent, et seuls les Mohrenschildt gardèrent le contact.

Une fausse pièce d’identité au nom d’Alek James Hidell trouvée en la possession d’Oswald, identité utilisée pour commander le Carcano et le revolver qui servit à tuer J. D. Tippit

C’est en janvier 1963 que Oswald remplit un bon de commande pour un revolver Smith & Wesson auprès de Seaport Traders, une firme de vente par correspondance de Los Angeles. Il s’agissait d’un calibre .38 dont le barillet avait été re-chambré pour accepter du calibre .38 Spécial et dont le canon avait été tronçonné pour en faire une version snob nose, facilement dissimulable. Le revolver coûtait 29,95 dollars, et il signa le bon de commande du nom de « A.J. Hidell », en donnant pour adresse la boite postale #2915 au bureau de poste de la rue Ervay. Il opéra de même en mars 1963, lorsqu’il commanda son Carcano sous le nom de A. Hiddel pour le prix de 21,95 dollars auprès de Klein’s Sporting Goods à Chicago.

En février 1963, alors que les relations entre Lee et Marina s’envenimaient jusqu’à la violence, Oswald prit un premier contact avec l’ambassade d’URSS en laissant entendre qu’il souhaitait y retourner. C’est aussi au cours de ce mois que les Oswald rencontrèrent Ruth Paine, qui allait devenir, avec son mari Michael, très proche des Oswald.

Rapidement, Ruth et Marina devinrent proches au cours du mois de mars 1963, et c’est à la fin du mois que Lee demanda à Marina de prendre des photos de lui avec ses armes. C’est également au cours de ce mois que Oswald commença à préparer l’assassinat du général Walker, que les deux armes commandées lui furent livrées, que Lee perdit son travail chez Jaggers et que l’agent Hosty du FBI commença un réexamen de routine du dossier de Oswald et Marina (six mois s’étant écoulés depuis son dernier entretien avec Oswald), au cours duquel il découvrit une note du FBI de New York sur un abonnement de Lee au Worker, journal communiste, ce qui l’intrigua et le poussa à rouvrir le dossier. Toutefois, avant que Hosty ait pu traiter le dossier, il se rendit compte que les Oswald avaient quitté Dallas.

Le général Edwin Walker, un héros de la Seconde Guerre mondiale, était un anticommuniste virulent et partisan de la ségrégation raciale. Walker avait été relevé de son commandement en Allemagne et muté à Hawaï en avril 1961 par le président Kennedy après qu’il eut distribué de la littérature d’extrême-droite à ses troupes. Il démissionna alors de l’armée en novembre 1961 et se retira à Dallas pour y commencer une carrière politique. Il s’est présenté contre John Connally pour l’investiture Démocrate au poste de Gouverneur du Texas en 1962, mais fut battu par Connally qui fut finalement élu gouverneur. À Dallas, Walker deviendra la figure de proue de la John Birch Society, une organisation d’extrême-droite basée au Massachusetts.

Walker représentait tout ce que haïssait Oswald et il commença à le surveiller en février 1963, prenant notamment des photos de son domicile et des environs. Le 10 avril 1963, alors qu’il avait été congédié de chez Jaggars-Chiles-Stovall depuis 10 jours, il laissa une note en russe à Marina et quitta son domicile avec son fusil. Le soir même, alors que Walker était assis à son bureau, on tira sur lui d’une distance de 30 mètres. Walker survécut par un simple coup de chance : la balle frappa le châssis en bois de la fenêtre et fut déviée.

Lorsque Oswald rentra chez lui, il était pâle et semblait effrayé. Quand il dit à Marina ce qu’il venait de faire , elle lui fit détruire l’ensemble des documents qu’il avait rassemblés pour préparer sa tentative d’assassinat, quoiqu’elle conservât la note en russe .

L’implication d’Oswald dans cette tentative ne fut connue des autorités qu’après la mort d’Oswald, lorsque cette note, ainsi qu’une photo de la maison de Walker, accompagnées du témoignage de Marina, leur parvinrent. La balle récupérée dans la maison de Walker était trop endommagée pour permettre une analyse balistique, mais l’analyse de cette balle par activation neutronique par le HSCA permit de déterminer qu’elle avait été produite par le même fabricant que la balle qui tua Kennedy.

Sans emploi, Oswald confia Marina aux bons soins de Ruth Paine et partit à la Nouvelle-Orléans pour trouver du travail. Il trouva un emploi le 9 mai et Marina le rejoignit le 10 mai.

Oswald semblait à nouveau malheureux de son sort, et quoiqu’il ait perdu ses illusions sur l’Union Soviétique, il obligea Marina à écrire à l’ambassade d’URSS pour demander l’autorisation d’y retourner. Marina reçut plusieurs réponses peu enthousiastes de l’ambassade, mais entre-temps les espoirs d’Oswald s’étaient reportés sur Cuba et Fidel Castro. Il devint un ardent défenseur de Castro et décida de créer une section locale de l’association Fair Play for Cuba. Il consacra 22,73 dollars à l’impression de 1 000 tracts, 500 demandes d’adhésion et 300 cartes de membres pour Fair Play for Cuba et Marina signa du nom de « A.J. Hidell » comme président de la section sur une des cartes.

Alors qu’Oswald était à nouveau sans travail, il fit, le 5 août 1963, une curieuse tentative d’infiltration des milieux anti-castristes : il se présenta comme un anticommuniste auprès de Carlos Bringuier, délégué à la Nouvelle-Orléans de l’association des étudiants cubains en proposant de mettre ses capacités de Marine au service des anti-castristes.

Quelques jours plus tard, le 9 août, un ami de Bringuier repéra Oswald en train de distribuer des tracts pro-Castro. La seconde rencontre entre Bringuier et Oswald fut donc explosive, et finit par une arrestation collective. Oswald passa la nuit en prison, et son procès (ainsi que celui de Bringuier) attira l’attention d’une station de télévision locale qui proposa de le filmer en train de distribuer des tracts, ce qui fut fait le 13 août , le film passant le soir-même à la télévision. Oswald fut alors contacté par une radio locale (WDSU), et après un premier entretien, il leur suggéra d’organiser un débat entre lui et Bringuier.

Sa correspondance de l’époque montre un Oswald heureux du bruit qu’il réussit à faire autour de Fair Play for Cuba et présentant sa section – dont il était le seul membre – comme un succès.

Cependant, le débat radio-diffusé qui s’ensuivit tourna au désavantage d’Oswald : Bringuier était bien préparé, et le journaliste cuisina Oswald sur son passage en URSS, que Oswald avait caché lors du premier entretien. Fair Play for Cuba, lié à un marxiste ayant vécu en URSS, n’avait désormais plus d’avenir à la Nouvelle-Orléans. Humilié et ayant perdu toute crédibilité, Oswald envisagea de détourner un avion vers Cuba, mais Marina réussit à l’en dissuader, et l’encouragea à trouver un moyen légal d’aller à Cuba. En l’absence de liaison entre les États-Unis et Cuba, Lee commença à envisager de passer par le Mexique.

Clay Laverne Shaw
Clay Laverne Shaw

Jim Garrison

Les quatre mois qu’Oswald passa à la Nouvelle-Orléans furent l’objet de beaucoup de spéculation et notamment de toute l’attention de Jim Garrison, le district attorney de la ville qui pensa pouvoir lier Oswald avec Clay Shaw, un homme d’affaire local qu’il estimait être impliqué dans l’assassinat du Président John F. Kennedy. Le lien entre Oswald et Clay Shaw était censé être Guy Banister, un ancien agent du FBI devenu détective et David Ferrie, un pilote. Il semble que dans les années ’50, Ferrie et Oswald alors adolescent se soient au moins croisés dans la Civil Air Patrol, une association civile auxiliaire de l’armée de l’air, cependant aucun lien n’a jamais pu être établi entre Oswald et Bannister (ni d’ailleurs entre Bannister et Ferrie, même s’il est possible que ces deux-là se soient connus).

 

Un dernier lien relevé entre Guy Banister et Oswald est le fait que Oswald utilisa l’adresse 544 Camp Street sur certains des tracts qu’il avait distribués, les bureaux de Guy Banister étant au 531 Lafayette Street, de l’autre côté du coin de la rue dans le même immeuble. Cependant, les deux entrées donnent dans des parties non communicantes de l’immeuble et l’adresse 544 Camp Street avait été l’adresse du Conseil révolutionnaire anti-Castro, où Carlos Bringuier avait d’ailleurs travaillé. Un résident cubain de l’adresse témoigna avoir été approché en juillet 1963 par Oswald qui exprima son souhait d’aider la résistance contre Castro. Il lui avait alors dit que l’association était partie et avait conseillé à Oswald de s’adresser à Bringuier. La mention de l’adresse sur certains tracts peut donc s’expliquer par le souhait d’Oswald d’embarrasser le Conseil et Bringuier.

 

William "Guy" Banister
William « Guy » Banister

Alors que Ruth Paine ramenait Marina à Dallas le 23 septembre 1963, Oswald resta en ville deux jours sans doute pour collecter son dernier chèque de chômage de 33 dollars. Ces jours sont aussi ceux où se situe un incident qui rend incertain le trajet exact d’Oswald à partir de la Nouvelle-Orléans et qui est considéré par certains comme un indice majeur de l’existence d’une conspiration: il s’agit, selon le témoignage de Sylvia Odio, de la visite qui lui fut faite à Dallas par Oswald et deux Cubains se présentant comme anti-castristes.

Quoi qu’il en soit, Oswald était dans un bus Houston-Laredo le 26 septembre, et continua ensuite vers Mexico. Là, il tenta d’obtenir un visa vers Cuba, se présentant comme un défenseur de Cuba et de Castro, et en affirmant qu’il voulait ensuite continuer vers l’URSS. L’ambassade lui refusa le visa s’il n’avait pas au préalable un visa soviétique. L’ambassade d’URSS, après avoir consulté Moscou, refusa le visa. Après plusieurs jours de va-et-vient entre les deux ambassades, un Oswald rejeté et mortifié retourna à Dallas.

L’épisode mexicain a aussi été le sujet de beaucoup de spéculations. Celles-ci ont été renforcées par une erreur de la CIA qui surveillait l’ambassade d’URSS et envoya à la Commission Warren une photo de quelqu’un qui n’était pas Oswald, ce qui a provoqué des suppositions qu’Oswald n’était en fait pas à Mexico ou en tout cas n’y avait pas fait ce que l’on prétendait. Des années plus tard, cependant, Cuba fit parvenir aux autorités américaines la demande de visa d’Oswald, et son écriture fut formellement identifiée.

De retour à Dallas le 3 octobre, Oswald exprima sa déception à l’égard du régime de Castro. Il décida de laisser Marina chez Ruth Paine pendant qu’il cherchait un nouvel emploi et un nouvel appartement. Oswald trouva un logement à 7 dollars la semaine au 621 Marsalis dans Oak Cliff, et chercha un emploi tous les jours, car ses prestations de chômage s’achevaient. Sa première logeuse, qui ne l’appréciait pas et se méfiait de lui, notamment parce qu’il parlait en une « langue étrangère » au téléphone, refusa de renouveler la location. Oswald pensa que la cause en était une nouvelle enquête du FBI. Il décida donc de dorénavant louer sous un faux nom et sa location suivante, le 14 octobre, fut faite sous le nom de « O.H. Lee ».

Malgré ses efforts, Oswald ne parvenait pas à trouver du travail. Ce même 14 octobre, Ruth Paine discutait avec des voisines, évoquant notamment le sort des Oswald : une femme enceinte et un mari qui ne trouve pas de travail. Une des voisines, Linnie May Randle, se souvint que son jeune frère, Wesley Buell Frazier, venait de passer à travers la même épreuve et avait trouvé du travail au Texas School Book Depository, un dépôt de livres qui assurait la distribution de livres éducatifs. Elle suggéra donc qu’Oswald y tente sa chance. Ruth Paine appela le Texas School Book Depository (TSBD) où on lui dit qu’il y aurait peut-être une place. Le jour suivant, le 15 octobre, Oswald se présenta au TSBD où il obtint une place d’employé chargé de remplir les bons de commande (Oswald mentit en affirmant qu’il venait d’avoir une décharge honorable des Marines et qu’il n’avait jamais eu d’ennuis avec la justice) et commença à y travailler le 16 octobre.

Wesley Buell Frazier, qui vivait près de sa sœur, Ruth Paine, lui offrit de le véhiculer jusque chez les Paine quand il le voulait, mais Oswald décida de ne rejoindre sa femme que le week-end, ce qu’il fit pour la première fois le vendredi 18 octobre. Le dimanche, Marina donna naissance à leur second enfant, Audrey.

Au cours du week-end suivant, Michael Paine, le mari de Ruth, eut une conversation politique avec Oswald et se rendit compte que malgré sa désillusion à l’égard des régimes socialistes, il était encore un fervent marxiste qui pensait que la révolution violente était la seule solution pour installer le socialisme. Pendant les semaines suivantes, la situation entre Marina et Lee se dégrada à nouveau, tandis que le FBI de Dallas s’intéressait à nouveau à Oswald du fait de son voyage à Mexico. Le vendredi 1er novembre, le FBI se rendit au domicile des Paine et interrogea Marina. Lorsque Oswald apprit cela le soir même, il devint très nerveux. Il avait l’impression d’être harcelé par le FBI, surtout lorsqu’une deuxième visite eut lieu le mardi suivant, 5 novembre. Sans doute à la suite de ces visites, Oswald se rendit le 12 novembre au bureau du FBI pour remettre une enveloppe à l’agent qui s’était chargé de l’enquête, James Hosty. Cet épisode a par la suite donné lieu à un acte de dissimulation par le FBI, puisque le supérieur de Hosty lui donna l’ordre de détruire la note qui, selon Hosty, contenait une demande de laisser Marina tranquille. Cette décision fut sans doute prise pour éviter de créer le moindre lien entre Oswald et le FBI ou une accusation d’enquête bâclée.

Le 15 novembre, Oswald ne put aller chez les Paine parce que Michael, le mari de Ruth, y passait le week-end (les Paine étaient en instance de divorce). Pendant ce week-end, Marina découvrit que Lee avait à nouveau écrit à l’ambassade d’URSS, et qu’il s’était inscrit sous un faux nom à son logement, et ils se disputèrent au téléphone à ce sujet.

Le 19 novembre, le Dallas Time Herald publia le trajet que le Président Kennedy utiliserait lors de la traversée de la ville. Comme Oswald avait pour habitude de lire le journal de la veille qu’il récupérait dans la salle de repos du TSBD, on présume qu’il a appris que le Président passerait devant les fenêtre du TSBD le 20 ou le 21 novembre.

Le jeudi 21 novembre, Oswald rompit avec sa routine et demanda à Buell Frazier s’il pouvait l’amener chez les Paine ce soir-là. Au cours de la soirée, Oswald tenta de convaincre Marina de venir avec lui à Dallas où il trouverait un appartement. Marina refusa cependant toutes ses tentatives d’approche dans lesquelles certains ont vu une tentative de la part d’Oswald de ne pas exécuter le plan qui avait sans doute germé dans sa tête le jour même. Lorsque Marina se leva le lendemain, le 22 novembre, Oswald était parti en laissant sur le bureau 170 dollars, et son alliance.

Ce matin du 22 novembre, Buell Frazier remarqua qu’Oswald embarquait dans sa voiture avec un paquet oblong, qu’Oswald prétendit être des tringles à rideaux. À 11h40, des travailleurs qui posaient un revêtement de sol au cinquième étage remarquèrent Oswald du côté est de l’étage.

Quinze ans après l’assassinat, une employée du TSBD dira qu’elle se souvient avoir vu Oswald dans la salle de repos du premier étage en train de déjeuner à 12h15, mais ce témoignage était contraire à ses premiers témoignages et à celui des personnes avec qui elle était à ce moment-là et qui ne virent pas Oswald.

Un autre employé se trouvait au 5e étage puisqu’il y prit son déjeuner vers 12h-12h15. Il ne vit personne et décida alors de rejoindre ses collègues au quatrième étage, d’où ils regardèrent la parade de la fenêtre juste en dessous de celle d’où les tirs allaient partir (ils témoignèrent avoir entendu les tirs au-dessus d’eux et avoir même entendu le bruit du fusil que l’on rechargeait). Le fait qu’il ne vit pas Oswald peut s’expliquer par le fait que celui-ci était caché par des piles de caisses de livres, arrangées pour cacher totalement la vue de la fenêtre de tous les autres points de l’étage.

Entre 12h et 12h30, plusieurs personnes virent un homme à la fenêtre du cinquième étage, quoique certains en virent deux.

À 12h30 précises, le Président traversait Dealey Plaza et était assassiné.

Quelque 90 secondes plus tard, Marrion Baker, un policier qui s’était précipité dans le TSBD pour chercher le tireur, aperçut quelqu’un alors qu’il atteignait le premier étage. Le policier était accompagné de Roy Truly, le patron du TSBD, qui identifia Oswald et ils continuèrent à monter. Oswald quitta alors le TSBD par l’entrée principale qui ne serait fermée qu’au moins dix minutes après l’assassinat (alors qu’ironiquement, deux passants s’étaient portés volontaires pour surveiller les accès arrières du bâtiment).

Carlin Bruce chauffeur du bus

Vers 12h40, Oswald après avoir remonté un bout de rue à pied monta dans un bus qui fut rapidement bloqué dans la circulation. Il demanda au chauffeur une correspondance et descendit du bus. Il marcha un peu et héla un taxi. Il propose néanmoins à une femme qui se présente de lui céder, ce qu’elle refusa. Le chauffeur de taxi ne notera rien de particulier dans son attitude. Il rejoint son appartement d’où il repart presque aussitôt après s’être muni de son blouson beige. Les témoins déclarent alors qu’il a l’air pressé et stressé. On ignore où Oswald se rendait ensuite, mais il avait marché un peu plus d’un kilomètre lorsqu’il fut intercepté vers 13h15 par J. D. Tippit.

Selon les témoins, Oswald tua J. D. Tippit alors que celui-ci avait quitté sa voiture et s’approchait de lui. Oswald quitta les lieux en vidant les douilles de son revolver et en le rechargeant.

Il se fit remarquer quelques rues plus loin, alors qu’il se cachait dans le hall d’entrée d’un magasin, des voitures de police qui passaient dans la rue. Le gérant du magasin nota son manège et sortit pour voir où il allait. Il le vit entrer sans payer dans un cinéma à quelques pas de là. Il alerta alors le responsable du cinéma qui appela la police pour signaler la présence d’un individu suspect dans le cinéma.

Plusieurs voitures de police arrivèrent alors et les policiers envahirent la salle. Un officier de police vit Oswald et lui ordonna de se lever. Oswald lui donna un coup de poing, sortit son revolver et tenta de tirer alors que le policier le ceinturait, mais le coup ne partit pas.

Il était 13h50, Oswald était arrêté et fut tout d’abord accusé du meurtre de Tippit. Lorsque les policiers se rendirent compte qu’Oswald était l’employé manquant du TSBD, il fut également inculpé du meurtre du Président. Oswald nia avoir assassiné qui que ce soit. Pendant son interrogatoire, il mentit à plusieurs reprises aux policiers.

Le 24 novembre, après 12 heures d’interrogatoire dont peu de traces ont été conservées, Oswald fut assassiné par Jack Ruby à 11h21 dans les garages de lapolice de Dallas et, en plus, en direct sous les yeux de millions de téléspectateurs alors qu’on s’apprêtait à transférer Oswald des cellules de la police vers la prison de comté sise au coin Houston et Elm street à un pas du fameux TSBD…

Oswald fut enterré le 25 novembre 1963 au cimetière Rose Hill à Fort Worth, la famille ayant eu de la difficulté à trouver un ministre du culte et un cimetière pour accueillir et célébrer la sépulture de l’assassin présumé du Président Kennedy.

Pierre tombale originale
Pierre tombale originale

En 1965, Marina épousa Kenneth Porter, un coureur de stock car, et les deux filles de Marina, Junie et Rachel, prirent finalement le nom de leur nouveau beau-père.

En 1981, le corps d’Oswald fut exhumé sous les pressions de Michael Eddowes, un auteur britannique pour confirmer son hypothèse selon laquelle le corps enterré sous la pierre « Oswald » au cimetière Rose Hill n’était pas celui du vrai Oswald, mais celui d’un sosie soviétique. Après autopsie légale, Linda Norton, le médecin-légiste du comté de Tarrant (Tx) a finalement confirmé que l’identité du cadavre reposant à Rose Hill était bien celui de Lee Harvey Oswald et personne d’autre.

Même l’exhumation de son corps n’a rien prouvé. Car d’après certaines personnes ,ce n’aurait pas été son corps qui avait été enterré mais une poupée,et bien évidement Lee serait parti vivre au Mexique. Manque de bol l’exhumation prouva que c’était bien le corps d’Oswald.

Un autre Lee Harvey Oswald vu a Mexico. Notez la ressemblance frappante !!!!

Pourquoi j’ai mis cette photo en dernier ?? Juste pour que vous comprenez qu’il est très facile de ce faire passer pour quelqu’un d’autre.

Pourquoi Lee aurait tué JFK ???

Certainement pas pour faire plaisir aux Anticastristes car Lee été soupçonné de faire Partie de la Cia , qui rappelons le ,gérer l’état indirectement.

Les indices qui incriminent Oswald

Les éléments suivants, dont certains sont des éléments circonstanciels sont de nature à convaincre de la culpabilité d’Oswald dans le meurtre du Président Kennedy.

  1. Oswald était classé comme bon tireur chez les Marines (son classement correspond à la capacité de toucher 8 fois sur 10 une cible de 25 centimètres à 182 mètres (200 yards).
  2. Howard L. Brennan, un témoin sur Dealey Plaza a reconnu Oswald comme étant l’homme qu’il a vu tirer de la fenêtre du cinquième étage du TSBD.
  3. Divers témoins ont vu à la fenêtre du cinquième étage du TSBD un homme dont la description correspond à Oswald.
  4. Oswald a été vu au cinquième étage du TSBD environ 35 minutes avant l’assassinat et n’a plus été vu ensuite nulle part jusqu’après l’assassinat.
  5. Le Carcano retrouvé au cinquième étage du TSBD a été identifié comme ayant été acheté par Oswald par correspondance, utilisant le même faux nom (Alek Hidell) que pour l’achat du revolver qui a tué Tippit et qu’Oswald portait sur lui au moment de son arrestation, ainsi d’ailleurs que d’une fausse pièce d’identité au nom d’Alek Hidell (il a été déterminé que cette pièce d’identité, un faux assez grossier, avait été fabriquée par Oswald lorsqu’il travaillait chez Jaggars-Chiles-Stovall à Dallas).
  6. Les étuis de munitions retrouvés au cinquième étage du TSBD ont été liés au Carcano.
  7. Les balles tirées sur le président ont été liées balistiquement au Carcano.
  8. La balle tirée sur le général Walker a été liée par activation neutronique aux balles utilisées dans le Carcano.
  9. L’empreinte digitale d’Oswald a été retrouvée sur le fusil.
  10. Oswald portait le jour de l’assassinat une chemise de coton bleu, orange et gris et des fibres de cette chemise ont été retrouvées sur le fusil.
  11. Le Carcano était rangé dans le garage des Paine, les gens chez qui Marina, la femme d’Oswald, logeait.
  12. Contrairement à ses habitudes, Oswald avait rejoint son épouse chez les Paine le soir du jeudi 21 novembre et y avait passé la nuit.
  13. Oswald partit le 22 novembre en laissant à son épouse une somme considérable et son alliance.
  14. Des témoins, dont l’homme qui conduisit Oswald à son travail au TSBD le matin du 22 novembre, l’ont vu transporter un long paquet emballé dans du papier qu’il affirma être des tringles à rideaux pour mettre à son appartement (son appartement avait déjà des rideaux).

Les indices qui innocentent Oswald

Les éléments suivants sont parfois présentés comme de nature à faire douter de la culpabilité d’Oswald :

  1. Le témoignage de Brennan est en partie discutable, notamment parce qu’il refusa, dans un premier temps, d’identifier formellement Oswald.
  2. Oswald a été vu environ 90 secondes après l’assassinat, au premier étage, et il avait l’air calme et pas essoufflé.
  3. La plupart des témoins qui ont vu un homme dans la fenêtre du cinquième étage du TSBD ont décrit un homme jeune mais portant une chemise claire sans col ou un tee shirt.
  4. L’empreinte de paume relevé par la police de Dallas est douteuse car elle n’a pas été relevée dans un premier temps, puis l’arme a été confiée au FBI qui n’a rien relevé, puis l’arme est revenue à la police de Dallas et c’est à ce moment-là que l’empreinte a été relevée.
  5. Certains autres éléments présentés comme étant à décharge de Oswald font partie des erreurs et désinformation parfois encore présentés comme des faits.
  6. Si on prends en compte le film de Abraham Zapruder le tir semble venir de face. D’après la commission d’enquête de 1979, il est très probable qu’il y ai eu complot donc on peut supposer que Oswald fut soit manipulé ou soit il en faisait partie…

Qui aurait donc pu tuer JFK ??

Malcolm (Mac) Wallace

Qui était-il vraiment ??

Le portrait robot de Nolan Griffin, portrait robot du tireur.
Le portrait robot de Nolan Griffin, portrait robot du tireur.
malcom wallace
Malcom Wallace

Très peu de photos de cet illustre assassin à la solde des Milliardaires Texans et surtout proche du clan Jonhson.

Ancien tireur d’élite dans les marines, devenu officiellement économiste au département de l’agriculture,mais travaillant en fait pour pour une entreprise d’armement basée à DALLAS, Ling-Temco-Vought(LTV), Malcom WALACE était l’exécuteur des basses besognes de Lyndon JONHSON depuis le début des années 50.
En 1959,Wallace, appuyé par LBJ, devient superviseur général d’un programme ultra-secret de fabrication de missiles,Corvus. En 1961 il est Muté dans une autre division de LTV en Californie.
le 22 novembre 1963,Wallace ne se présente pas à son travail. La découverte des empreintes digitales de Wallace au 5 em étage du dépôt de livre à l’endroit même d’où Lee Harvey Oswald est censé avoir tiré,permet de s’interroger sur la présence de Wallace sur les lieux du crime…
En effet sur les 25 empreintes découvertes sur les cartons servant au nid du tireur, une seule ne sera pas identifiée, prise sur la boite en carton dite « A »,celle-ci référencée « inconnue »,et classifiée et tenue secrète sur ordre de J.Edgar HOOVER jusqu’en 1988. Un groupe de chercheurs texans demande à Nathan DARBY, expert internationalement connu, de les comparer à d’autres, qui lui sont présentées sans aucune indication d’origine.
Ses conclusions sont sans appel: les 2 séries d’empreintes présentent 14 points communs!
Il y a donc de fortes probabilités qu’elles appartiennent à la même personne.
A l’époque l’expert ignore que le second jeu provient d’un relevé effectué lors de l’arrestation de Wallace pour meurtre en 1951. Malcom WALLACE est mort dans un accident de voiture en 1971. Sa voiture roulant à vive allure s’est encastrée dans un pylône sans raison apparente en pleine ligne droite…

il aurait été vu par sa veuve en 1971 dans un casino de Las Vegas alors qu’il été déjà mort depuis belle lurette.

Bizarre me direz vous ??

Non je vous répondrait.

Non pourquoi ?? Et bien c’est très simple, Las Vegas été géré par la mafia pendant les années 1950 a 1980 alors il été très facile à la CIA ou même au clan Jonhson et consorts de Planqué leurs hommes de mains à Las Vegas vu que ce n’était pas la Police qui gérer cet état. Pas d’enquête, pas de Preuves et a la rigueur si une personne enquêter un peu trop près de la mafia, on la faisait disparaître dans le désert tout proche.

Billie Sol Estes

Billie Sol Estes
Billie Sol Estes

Financier de Lyndon B. Johnson. Milliardaire aujourd’hui ruiné qui fut l’un des financiers de Lyndon B. Johnson. 40 ans après l’assassinat de JFK, il accuse son successeur. Selon Billie Sol Estes, Lyndon B. Johnson aurait demandé à Malcolm Wallace, son « porte-flingue », de se débarrasser de Kennedy lors du voyage de Dallas. Wallace serait donc le deuxième tireur du TSBD. C’est la version développée par William Reymond dans son livre-enquête « JFK – le dernier témoin » paru fin octobre 2003.

D’après Craig Zirbel dans « The Texas Connection », si John F. Kennedy ne voulait plus de Lyndon B. Johnson pour son éventuel second mandat, c’est entre autres à cause d’un scandale impliquant Billie Sol Estes, soupçonné d’avoir fait assassiner un agent du ministère de l’agriculture.

La mafia

Sam Giancana
Sam Giancana
C’est la rumeur la plus répandue. La mafia, aux liens plus ou moins avérés avec le père des Kennedy, aurait eu un double objectif : faire payer à John la perte des casinos de Cuba et surtout mettre hors d’état de nuire Robert Kennedy. Le frère du président, également ministre de la Justice, avait fait de la lutte anti-mafia sa priorité numéro 1 (il sera d’ailleurs assassiné lui aussi en 1968). Au crédit de cette thèse : les propos de plusieurs mafieux qui auraient publiquement fait part de leur intention de tuer le président quelques mois avant sa mort.

Lyndon B. Johnson et les pétroliers

Lyndon Baines Johnson
Lyndon Baines Johnson
Le vice-président et successeur de Kennedy est régulièrement cité comme l’instigateur d’un complot contre JFK. Au crédit de cette thèse : l’accession à la Maison Blanche de Lyndon B. Johnson lui aurait permis d’enterrer définitivement les affaires de corruption dans lesquelles il trempait, notamment dans le milieu pétrolier (Texan, LBJ entretenait des relations étroites avec les grandes familles de l’or noir). Les tenants de cette hypothèse indiquent que, sitôt au pouvoir, Johnson a fait avorter un projet de taxation sur les revenus du pétrole (une mesure qui avait pourtant reçu le soutien du clan Kennedy). Enfin, le fait que JFK soit assassiné à Dallas, une ville où LBJ jouissait d’un large réseau, a largement contribué à accréditer le scénario d’un complot politique.

Les anticastristes

Les anticastristes
Les anticastristes
C’est un scénario qui a fait couler beaucoup d’encre… En 1961, JFK supervise une opération militaire destinée à renverser Fidel Castro. Les troupes sont composées de 1.400 anticastristes entraînés par l’armée et qui débarquent le 17 avril dans la baie des Cochons. Mais l’opération est un fiasco. Craignant un conflit ouvert avec l’URSS, JFK ne cautionne pas l’opération et refuse d’apporter un soutien aérien. Résultat : la plupart des mercenaires sont faits prisonniers et une centaine sont tués. Cet échec cuisant a considérablement terni l’aura des Kennedy auprès des Cubains exilés et nourri la thèse d’une vengeance des milieux anticastristes – en photo, des otages anticastristes.

Fidel Castro

Fidel Castro
Fidel Castro
Cette fois-ci, les faits sont les mêmes mais le point de vue est différent. L’assassinat de JFK aurait été orchestré par Fidel Castro en personne ! Harcelé par les États-Unis, le « leader maximo » n’aurait pas apprécié la tentative de coup d’État de la baie des Cochons. Envisagée peu après l’assassinat, l’hypothèse du complot castriste est aujourd’hui considérée comme peu vraisemblable…

La CIA

La CIA
Le fiasco de la baie des Cochons aurait également eu des conséquences sur les relations entre JFK et la CIA. La thèse d’un assassinat couvert par l’agence de renseignement est régulièrement montrée du doigt par les tenants de la théorie conspirationniste. N’ayant pas digéré l’échec du débarquement à Cuba, la CIA aurait également craint une réduction de ses pouvoirs. La démission forcée d’Allen Dulles, patron historique de l’agence, sous la pression de la Maison Blanche, a largement contribué à alimenter cette rumeur.

L’Union soviétique

L’Union soviétique
La crise du Mur de Berlin et la baie des Cochons en 1961, la crise des missiles de Cuba en 1962, la guerre contre le Vietnam… A chaque fois, l’ennemi des Américains est le même : le communisme. Ces épisodes de tension extrême entre les États-Unis et l’URSS nourrissent régulièrement la thèse d’un complot ourdi par Moscou – Photo : Nikita Khrouchtchev, dirigeant de l’URSS à l’époque de JFK.

Le complexe militaro-industriel

Le complexe militaro-industriel
Kennedy voulait-il mettre un terme à la présence américaine au Vietnam ? Si les historiens ne sont pas tous d’accord là-dessus, c’est en tout cas ce que laissent supposer les décisions prises par le président peu avant sa mort. Désirant inaugurer la détente avec Moscou, JFK a ainsi ordonné le retrait de 1.000 soldats avant la fin de l’année 1963 et un retrait définitif des troupes américaines avant 1966. De nombreux sceptiques attribuent donc au complexe militaro-industriel (le Pentagone et la droite dure) l’assassinat de Kennedy. Craignant de perdre la guerre au Vietnam et de voir leurs crédits à la baisse, les militaires (soutenus par les faucons de Washington) auraient organisé la mort du président.

Le complot total

C’est la thèse qui suscite le plus d’adhésion parmi ceux qui refusent de croire à la version officielle. La mort de JFK serait le fruit d’une conspiration impliquant plusieurs acteurs aux intérêts communs : pétroliers, mafia, militaires, CIA… et même le FBI ! Il était de notoriété publique qu’Edgar Hoover, le puissant patron du bureau fédéral, était un farouche adversaire du président. Les deux hommes entretenaient d’ailleurs une haine réciproque : JFK ne supportait pas les coups tordus du Bureau et Hoover n’a pas hésité pas à faire poser des micros sous le lit du président pour épier ses frasques extra-conjugales ! Sur un siège éjectable, Hoover est finalement devenu patron du bureau fédéral à vie grâce à un ami : Lyndon B. Johnson !

Les Illuminati

Les Illuminati
Le scénario a fait long feu mais certains tenants de la théorie conspirationniste continuent à y croire… Kennedy aurait ainsi été assassiné par les Illuminati, une société secrète proche des francs-maçons et composée d’hommes d’affaires et d’intellectuels (les Rothschild, les Windsor et les Rockefeller en auraient fait partie !) Trop indépendant et soucieux de prendre ses distances avec les « sectes », JFK se serait volontairement passé de leur soutien pour remporter l’élection présidentielle. Un affront qu’il aurait payé de sa vie…

Les Nazis

Adolf Hitler
Adolf Hitler
C’est la théorie la plus farfelue : les Nazis seraient à l’origine du meurtre de JFK ! Ainsi, Josef Mengele (un médecin allemand tristement célèbre pour ses expériences au camp de concentration d’Auschwitz) se serait trouvé à Dallas le jour de l’assassinat afin de superviser l’opération. Il existerait même un témoignage établissant la présence de l’ancien nazi dans le bâtiment où l’un des coups de feu a été tiré !

Qui est donc le responsable de cet acte ???

Nous Reviendrons plus en détails sur certains aspects dans un prochain article.
Reynald
Author: Reynald

J'ai crée ce site en 2004 car j'étais un passionné de paranormal et je voulais partager ma passion avec les gens qui ont la même passion. Bonne lecture.

By Reynald

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Une réflexion sur « Mais qui a Tué Reellement JFK ?? Partie I »

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