Il semble que les russes soient en possession d’un corps de bigfoot récupéré de Californie à la fin du 18ème siècle et entreposé dans les sous-sols de l’université de St Petersbourg ou du musée de l’Hermitage.
Cette affaire rappelle celle signalée par Christian le Noël de la carcasse d’homme sauvage entreposée dans le sous sol de l’institut de paléontologie à Paris dont il n’a pas pu retrouver la trace dans les registres.Y a t’il une carcasse de bigfoot détenue par les russes, qui, à la différence de l’homme de glace du Minnesota représenté là dessus, existe toujours pour être examinée?
Un homme qui s’identifia comme un scientifique de l’environnement. Après la chute de l’union soviétique, il fut engagé pour faire des études de la qualité de l’air au muséum de l’université dans la Leningrad en travaux. Alors qu’il prélevait des échantillons d’air dans un sous-sol à trois nivaux en dessous du muséum en 1992, il a déclaré qu’il a fait une découverte surprenante. [St Peters bourg a été fondé en 1703 par le tzar Peter le Grand, mais traversa une période d’avoir eu d’autres noms, Petrograd (1914-1924) et Leningrad (1924-1991).
Le scientifique américain a raconté qu’il est tombé par hasard sur un objet dans un caisson en verre qui, selon l’étiquette, était un animal (un bigfoot manifeste) pris près d’un poste avancé dans le nord de la Californie. Le poste était près de Mendocino, et l’hominoïde monté a été prélevé à la fin des années 1700, d’après ce qu’il a pu lire sur l’étiquette du muséum.
L’énorme animal qu’il a vu, et a déclaré qu’il a examiné, avait plusieurs couches de peau, affichait un pied de 17 pouces de long (Env. 44 cm), et était – c’est surprenant – une silhouette verticale couverte de poils du genre bigfoot de 7 pieds un pouce de haut (Env. 2 Métres). Selon les dates de la fondation des universités à St Petersbourg, ce scientifique ne pouvait être en train de parler que de l’université d’état de St Petersbourg, qui a été fondée en 1724.
Toutes les autres universités à Saint Petersbourg sont des instituts de technologie, d’électricité ou polytechnique et spécialisés fondés entre 1828 et 1906. Il pourrait même s’agir du musée d’état de l’Hermitage à Saint Petersbourg.
Une découverte russe d’un corps de bigfoot californien du 18ème ou du 19ème siècle n’a jamais été mentionnée auparavant dans aucunes correspondance, livre ou littérature homilétiques ou cryptozoologiques.
Pourrait-ce être vrai? La preuve ultime de l’existence du bigfoot pourrait-elle se trouver intacte dans le sous-sol d’un musée russe ? On a trouvé d’étranges choses dans des musées, inutile de le dire, mais quelle preuve y a-t-il qui indique que les russes ont déjà été en Californie ?
Bien sûr, la courte histoire de l’intrusion russe dans les terres espagnoles de la Californie est bien documentée. Un petit peu de recherche montre que des russes recherchant des peaux de la loutre de mer (Enhydra lutris) près de la côte Pacifique, ont d’abord établi des sites en Alaska et puis sont descendus le long de la côte de la Californie, recherchant des zones qui pourraient servir leurs buts. Dans « History of the Russian Settlement at Fort Ross, California, » Les russes apparaissent avoir occupé principalement les coins autour de la baie de San Francisco de 1804 jusqu’à 1829. Le russe qui est venu le premier en 1804 a été Alexandrovich Kuskov, et en 1812, il établit (en compagnie de 25 russes et de presque 100 Aléoutiens) une colonie fortifiée sur la côte californienne de la baie de Bodega.
En effet, Fort Ross a été un poste avancé russe du commerce de la fourrure dans ce qui est maintenant le comté de Sonoma, Californie, États Unis, du temps de son établissement par la compagnie russo-américaine en 1812, jusqu’à qu’il fut vendu à John Sutter (de la renommée de la ruée vers l’or) en 1841. (« Ross » à propos, est une version poétique raccourcie de « Rossiya » qui signifie Russie en russe.)
Il reste d’autres toponymes dans le paysage qui donnent un indice que les russes ont été en californie. Un site pittoresque bien connu souvent visité aujourd’hui par des randonneurs et des touristes est la Rivière Russe en Californie. Le nom ne tombe pas du ciel. La rivière prend son nom de trappeurs russes qui ont exploré la rivière au début du 19ème siècle, quand la Russie a entretenu des colonies et des postes avancés commerciaux, tels que Fort Ross, le long des côtes californiennes.
La Rivière Russe s’élève dans les chaînes de montagnes côtières du comté de Mendocino, au nord de Ukiah dans le nord de la Californie. Commençant au lac de Mendocino, elle coule au sud au travers de vallées dans le comté de Mendocino et le comté de Sonoma le long de la route 101. La rivière tourne à l’ouest à Healdsburg et se déverse dans l’océan Pacifique à Jenner by the Sea, à environ 60 miles (100 km) au nord du Golden Gate de la baie de San Francisco.
En considérant que le scientifique a mentionné Mendocino sur l’étiquette du muséum, tous ces détails apparaissent concorder (à moins, bien sûr, que c’était un mystificateur d’un « Bed and Breakfast » de la rivière Russe ou quelque chose d’étrange comme cela). Il a déclaré qu’il a pensé que l’étiquette indiquait la fin des années 1700.
Le bigfoot aurait-il pu être prélevé par un des premiers groupes exploratoires d’inspection russes, à la recherche d’emplacements desquels prendre les loutres marines?
On pourrait aussi dire que l’existence de trois sous sols sous un musée qui est juste au-dessus du niveau du fleuve est douteuse , et que l’absence de photos et de prélèvements même très modestes ne plaident pas en sa faveur.
Les russes qui début 1700 longeaient les côtes ouest du canada peut-être jusqu’en Californie rapportaient des choses vendables : fourrures de loutres de mer , etc… Ramener une charogne sans valeur évidente est à la rigueur compréhensible mais pas pour l’enterrer aux 3° sous sol. Le succès de curiosité aurait dû à l’époque être presque aussi grand que pour le mammouth.
On peut faire une petite comparaison avec le mammouth exposé au musée zoologique de Léningrad. Son arrivage au début des années 1800 depuis le grand nord sibérien a couté une fortune , à duré plusieurs mois et n’a pu se faire que par ordre et financement du Tsar..
Suite à la publication de l’information sur Cryptomundo, Valentine
Sapunov réagit et nie l’existence d’un tel cadavre:
« L’information au sujet de la carcasse de bigfoot entreposée ici
dans le muséum à l’université de Leningrad St Petersbourg est une
fiction avec une probabilité de 99%. J’ai été en rapport avec
cette université toute ma vie, j’ai travaillé aux facultés de
mathématiques appliquées et de sociologie, et une telle information
ne pourrait pas passer sous mon nez. Il n’y a aucun musée à
l’université. Il n’y a seulement que le musée Mendeleev ayant une
collection en rapport avec ce grand chimiste et quelques matériaux sur
l’histoire. Cette collection est bien connue. Mais (1%) de nombreuses
facultés et département ont leurs propres collections et petits
musées, et certains exposants ne sont pas bien connus. D’où que
j’ai quelques doute au sujet de cette information, mais
j’obtiendrai davantage d’information et je vous informerai. Meilleurs sentiments, Valentine Sapunov. »