Au premier abord, la Société Vril ne devrait pas rentrer dans le cadre de notre sujet qui relève plus de la politique mais elle est une des sociétés secrètes les plus intéressantes qui ait jamais existé. C’est pourquoi il nous faut absolument la mentionner. Il n’y a pas un seul livre en Allemagne sur cette Société Vril et tout autre document qui aurait pu renvoyer à ce nom a été bel et bien soustrait par les Alliés. Mais, comme vous vous en apercevrez, tout n’a pas disparu. Et j’éprouve un plaisir tout particulier à vous dévoiler ici ce thème. En effet, vous allez constater quels sont les milieux influents non allemands qui tiennent à cacher la vérité aux Allemands.Karl Haushofer fonda, avant 1919, un deuxième ordre, les Frères de la Lumière, qui prit, plus tard, le nom de Société Vril. Dans celle-ci se retrouvèrent aussi les maîtres de la pierre noire (DHvSS), une nouvelle fondation des Templiers, issue de l’ordre Germain en 1917, et les Chevaliers Noirs du Soleil Noir, élite de la Société Thulé et des SS.
Si nous comparons la Société Vril à la Société Thulé, la différence peut se résumer ainsi : la Société Thulé s’occupait de choses matérielles et politiques tandis que la Société Vril avait des occupations qui concernaient surtout l’au-delà. Cependant, elles avaient quand même quelques points communs. Toutes deux étudiaient l’Atlantide, Thulé, l’Ile des Bienheureux de Gilgamesh, les rapports originels entre les Germains et les Mésopotamiens ainsi que les anciens sanctuaires comme Stonehenge avec ses pierres dressées.
En décembre 1919, une maison forestière fut louée dans le Ramsau, près de Berchtesgaden, où se rencontrèrent quelques personnes des Sociétés Thulé, DHvSS et Vril. Parmi elles, les médium Maria Orsitsch et Sigrun. Maria avait capté des informations dans une écriture secrète des Templiers – une langue tout à fait inconnue pour elle – avec des précisions techniques pour construire un engin volant. Ces messages télépathiques étaient transmis, d’après les écrits de la Société Vril, du système solaire d’Aldébaran situé dans la constellation du Taureau.
Nous voulons vous présenter un résumé des messages qui ont été reçus pendant des années par les télépathes de la Société Vril et qui ont été à la base des actions entreprises par cette dernière.
Le système solaire d’Aldébaran serait à 68 années lumière de la Terre et deux planètes habitées qui constitueraient le royaume de Sumeran tourneraient autour de son soleil. Les habitants de ce système solaire seraient subdivisés en un peuple de maîtres, d’hommes-dieu blancs (Aryens) et en différentes autres races humaines. Celles-ci se seraient développées à cause de changements climatiques sur les planètes isolées et seraient le résultat d’une dégénérescence de ces hommes-dieu. Ces mutants auraient eu un développement spirituel inférieur aux hommes-dieu. Plus les races se mélangeaient, plus leur développement spirituel se dégradait. Par conséquent, lorsque le soleil d’Aldébaran se mit à grandir, ils ne purent plus faire des voyages interplanétaires comme leurs ancêtres, il leur était devenu impossible de quitter leurs planètes. C’est ainsi que les races inférieures, totalement dépendantes de la race des maîtres, auraient été évacuées dans des vaisseaux spatiaux et amenées sur d’autres planètes habitables. Malgré ces différences, le respect était de mise entre ces deux races, elles n’empiétaient pas sur l’espace vital de l’autre. Chaque race respectait le développement de l’autre (contrairement aux terriens).
La race des maîtres, les hommes-dieu blancs, aurait commencé à coloniser d’autres planètes similaires à la Terre il y a quelques 500 millions d’années, suite à l’expansion du soleil d’Aldébaran et de la chaleur grandissante qui en résulta et qui rendit les planètes inhabitables. On dit qu’ils auraient colonisé dans notre système solaire d’abord la planète Mallona (nommée aussi Maldek, Marduk ou bien Phaéton chez les Russes) qui aurait existé, à l’époque, entre Mars et Jupiter, là où se trouvent les astéroïdes aujourd’hui. Ce fut, après, au tour de Mars dont les grandes villes pyramidales et le visage martien bien connu, photographiés en 1976 par la sonde Viking, témoignent du haut niveau de développement de ses habitants. D’où la supposition que les hommes Dieu de Sumeran Aldébaran vinrent à cette époquelà pour la première fois sur Terre. De vieilles traces d’un soulier fossilisé remontant à environ 500 millions d’années en témoignent, ainsi qu’un trilobite fossilisé piétiné avec le talon de ce soulier. Cette écrevisse primitive vivait alors sur Terre et a disparu il y a 400 millions d’années.
Les membres de la Société Vril pensaient que les Aldébariens atterrirent, plus tard, lorsque la Terre devint peu à peu habitable, en Mésopotamie et qu’ils formèrent la caste dominante des Sumériens. On appela ces Aldébariens hommes-dieu blancs. De plus, les télépathes de Vril reçurent l’information suivante : la langue des Sumériens était non seulement identique à celle des Aldébariens, mais elle avait aussi des sonorités semblables à l’allemand et la fréquence de ces deux langues était presque identique.
Cela correspond-il à la réalité Disons simplement que les plans de construction et les renseignements techniques reçus par les télépathes – d’où qu’ils viennent – étaient si précis que naquit l’idée la plus fantastique jamais conçue par l’homme : la construction de la machine vers l’au-delà !
Le concept d’une autre science mûrit dans les esprits (on emploierait, de nos jours, le terme de formes d’énergies alternatives). Il fallut trois ans pour que le projet soit mis en place. Dans cette première phase d’une autre technique ou d’une autre science, le Dr W. O. Schumann, membre des Sociétés Thulé et Vril, fit un exposé à la Faculté des sciences de Munich. En voici un extrait :
Dans tous les domaines, il y a deux principes qui déterminent les événements : la lumière et l’ombre, le bien et le mal, la création et la destruction, comme le plus et le moins en électricité. Il s’agit toujours de : d’une façon ou de l’autre !
Ces deux principes – désignons – les concrètement comme les principes créateurs et destructeurs déterminent aussi nos moyens techniques. […] Le principe destructeur est l’œuvre du diable, le principe créateur l’ouvre de Dieu. […] Toute technique basée sur le principe de l’explosion ou de la combustion peut être cataloguée de technique satanique. La nouvelle ère qui arrive sera l’ère d’une technique nouvelle, positive et divine ! […] (extrait des archives secrètes des S.S.).
À la même période, le scientifique Viktor Schauberger travaillait à un projet similaire. Il avait fait sien l’enseignement de Johannes Kepler qui était en possession de la doctrine secrète des pythagoriciens, reprise et tenue secrète par les Templiers. Cela concernait le savoir sur l’implosion (dans ce cas, cela signifie l’utilisation du potentiel des mondes intérieurs dans le monde extérieur). Hitler et tous les autres membres des Sociétés Thulé et Vril savaient que le principe divin est toujours créateur, c’est-à dire constructif. Une technologie qui, par contre, repose sur l’explosion est donc, de ce fait, destructrice, opposée au principe divin. On voulut alors créer une technologie reposant sur l’implosion. La doctrine de l’oscillation de Schauberger (le principe de la série des harmoniques = monocorde) part du savoir sur l’implosion.
Disons plus simplement : l’implosion à la place de l’explosion ! Au moyen des trajectoires de l’énergie du monocorde et de la technique de l’implosion, on pénètre dans le domaine de l’antimatière et on dissout, ainsi, la pesanteur.Le premier vaisseau en forme de soucoupe fut construit à l’été 1922, sa propulsion était basée sur la technique de l’implosion (la machine vers l’au delà). Il comprenait un disque de 8 m de diamètre, surhaussé d’un disque parallèle de 6,5 m diamètre et flanqué en dessous d’un autre disque de 6 m de diamètre. Ces trois disques avaient dans leur centre un orifice de 1,80 m de diamètre où l’on monta le propulseur de 2,40 m de haut. En bas, le corps central se terminait en forme de cône. Dans ce cône se trouvait une sorte de pendule qui avait pour effet de stabiliser l’appareil. Les disques inférieur et supérieur tournaient en sens inverse pour créer un champ de rotation électromagnétique.
On ne connaît pas les performances de ce premier disque volant. Il fut expérimenté pendant deux ans avant d’être démonté et entreposé dans les ateliers de Messerschmidt à Augsbourg. On retrouve des aides de financements pour ce projet dans les comptabilités de plusieurs entreprises industrielles, mentionnées sous le code JFM. Il est certain que le mécanisme Vril est issu de la machine vers l’au-delà mais il a été répertorié comme le lévitateur Schumann SM.
En principe, la machine vers l’au-delà devait engendrer un champ extrêmement fort autour d’elle et dans son proche voisinage qui faisait de tout l’espace environnant y compris celui de la machine et des occupants un microcosme tout à fait indépendant de notre cosmos. A sa puissance maximale, ce champ serait totalement indépendant de toutes les forces et influences de notre Univers, telles que la gravitation, l’électromagnétisme, le rayonnement ou même de n’importe quelle matière. Il pourrait se mouvoir à volonté dans tous les champs gravitationnels sans qu’on y détecte ou qu’on y sente des forces d’accélération.
En juin 1934, Victor Schauberger fut invité par Hitler et les plus grands représentants des sociétés Vril et Thulé et travailla, désormais, en collaboration avec eux.
Le premier ovni allemand vit le jour en juin 1934. C’est sous la direction de Dr W. O. Schumann que naquit le premier avion circulaire expérimental sur le terrain de la fabrique d’avions Arado à Brandebourg : il s’agissait du RFZ 1. Lors de son premier vol qui fut aussi le dernier, il s’éleva à la verticale d’une hauteur d’environ 60 m mais se mit alors à tournoyer et à danser dans l’air pendant plusieurs minutes. L’empennage Arado 196 qui devait guider l’appareil s’avéra complètement inefficace. C’est avec grand peine que le pilote Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s’en échapper et à s’éloigner en courant car l’appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d’être complètement mis en pièces. C’était la fin du RFZ 1 mais le début des engins volants VRIL.
Le RFZ 2 fut terminé avant la fin de l’année 1934, il avait une propulsion Vril et un pilotage à impulsion magnétique. Son diamètre était de 5 m et ses caractéristiques étaient les suivantes : les contours de l’appareil s’estompaient quand il prenait de la vitesse, et il s’illuminait de différentes couleurs ce qui est bien caractéristique des ovnis. Selon la force de propulsion, il devenait rouge, orange, jaune, vert, blanc, bleu ou violet.
Il put donc fonctionner et l’année 1941 lui réserva un destin remarquable. Il fut utilisé comme avion de reconnaissance à grande distance pendant la bataille d’Angleterre. Il s’avéra que les chasseurs allemands standards ME 109 étaient inaptes à des vols de reconnaissance transatlantiques à cause de leur petit rayon d’action.
On le photographia fin 1941 au-dessus du sud de l’Atlantique alors qu’il se dirigeait vers le croiseur auxiliaire Atlantis se trouvant dans les eaux de l’Antarctique. Il ne pouvait pas être utilisé comme avion de chasse pour la raison suivante : à cause de son pilotage à impulsion, le RFZ 2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22,5°. C’est incroyable, vont penser certains d’entre vous mais ce sont précisément ces changements de vol en angle droit qui sont caractéristiques des ovnis.
Après le succès du petit RFZ 2 comme avion de reconnaissance àgrande distance, la Société Vril disposa d’un terrain d’expérimentation à Brandebourg. Le chasseur VRIL 1, disque volant équipé d’armes légères, volait à la fin de l’année 1942. Il avait 11,5 m de diamètre, possédait un siège et une propulsion à lévitation Schumann et un pilotage par impulsion à champ magnétique. Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000 km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n’était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l’espace. On construisit 17 exemplaires du Vril 1, il y eut aussi plusieurs variantes à deux sièges, munies d’un dôme en verre.
Au même moment, un projet V-7 vit le jour. Plusieurs disques volants portèrent ce nom mais ils avaient une propulsion par réacteurs conventionnels. C’est grâce à Andreas Epp que le RFZ 7 fut créé, il combinait un disque volant à lévitation avec cette propulsion à réaction.
L’équipe de Schriever Habermohl et celle de Miethe Belluzo participèrent à son élaboration. Il avait 42 m de diamètre mais se fracassa lors d’un atterrissage à Spitzbergen. Aux alentours de Prague, on prit cependant, plus tard, une photo d’un RFZ 7 construit de la même façon. D’après Andreas Epp, il devait être équipé d’ogives nucléaires et il devait bombarder New York.
En juillet 1941, Schriever et Habermohl construisirent un avion circulaire qui décollait à la verticale, mû par une propulsion à réaction mais qui avait, cependant, de graves défaillances. On développa pourtant une autre toupie volante à électro gravitation avec une propulsion à tachyons qui eut plus de réussite. Puis ce fut au tour du RFZ 7 T, construit par Schriever, Habermohl et Belluzo, qui fonctionna à merveille lui aussi. Comparés aux disques Vril et Haunebu, les disques volants V-7 étaient plutôt des jouets d’enfants.
Au sein même des SS se trouvait un groupe qui travaillait à la production d’énergie alternative : le Bureau d’Étude IV du Soleil Noir = SS-E-IV dont le but principal était de rendre l’Allemagne indépendante du pétrole brut étranger. Le SS-E-IV développa le mécanisme Thulé, appelé, plus tard, Tachyonateur Thulé, à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Coler.En août 1939 décolla le premier RFZ 5. C’était une toupie volante équipée d’armes moyennement lourdes du nom étrange de Haunebu 1.
Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25 m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800 km/h pour atteindre, plus tard, jusqu’à 17.000 km/h. Elle était équipée de deux canons à rayons forts (KSK) de 60 mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK 106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l’espace. Fin 1942, le Haunebu II était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32 m, sa hauteur était de 9 à 11 m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes. Propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6000 km/h. Il était apte à se déplacer dans l’espace et avait une autonomie de 55 heures de vol.
Il existait alors déjà des projets pour le grand vaisseau spatial Vril 7 de 120 m de diamètre qui devait transporter des compagnies entières. Peu après, on construisit le Haunebu 111, exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses 71 m de diamètre. Il vola et fut même filmé. Il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d’au moins 7.000 km/h (et d’après des documents d’archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40.000 km/h).
Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité de Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Deuxième Guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3.000 km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK, canon à rayons forts) qui pouvait traverser une épaisseur de 10 cm de blindage. Le professeur J. J. Hurtak, ufologue et auteur de Les clefs d’Énoch, dit que les allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de système d’armes miracles. Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant
- 1. la construction de Peenemünde, ville d’expérimentation d’engins téléguidés vers l’espace
- 2. la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d’Allemagne.
Ces documents mentionnaient aussi l’existence de ce qu’on appelait les foo-fighters (les boules de feu). La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant, en 1942, de la construction et de l’emploi de tels objets volants, mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Les Alliés désignaient, en fait, sous le nom de foofighters toutes les sortes d’appareils volants lumineux allemands. Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu’on appelait les foofighters : les tortues volantes et les bulles de savon. Les deux n’avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort. La tortue volante fut conçue par le bureau d’études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d’une carapace de tortue. C’était une sonde volante sans équipage qui devait perturber le système d’allumage électrique du matériel militaire ennemi. Cette sonde était aussi équipée d’armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés rayons de la mort par les SS. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna pas parfaitement au début. On continua, plus tard, àdévelopper cette technique. Quiconque a déjà vu des ovnis pourra confirmer que cette coupure de contact, c’est-à-dire l’arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des ovnis quand ils apparaissent. Wendell C. Stevens, pilote de l’US Air Force pendant la Deuxième Guerre mondiale, dit que les foo-fighters étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu’ils s’approchaient jusqu’à 5 m des avions et qu’ils restaient dans cette position. Il n’était pas possible de se débarrasser d’eux, même lorsqu’on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir.
Quant aux bulles de savon désignées souvent comme foofighters, c’étaient, en fait, de simples ballons à l’intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l’effet d’intimidation psychologique.
Au début de l’année 1943, on lança même le projet d’un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c’était l’appareil Andromeda (long de 139 m). Il devait transporter plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes pour des vols (interstellaires) de longue durée.
Une réunion importante de la Société Vril eut lieu aux en virons de Noël 1943 à Kolberg, station balnéaire en mer du Nord, à laquelle assistèrent les médiums Maria et Sigrun. Le sujet principal concernait l’entreprise Aldébaran. Les médiums avaient reçu des renseignements précis sur les planètes habitées, situées autour du soleil d’Aldébaran, et un voyage fut programmé pour s’y rendre. Le 2 janvier 1944, Hitler, Himmler, Künkel et Dr Schumann (tous deux de la Société Vril) se rencontrèrent pour parler de ce projet Vril. Ils voulaient se diriger à l’aide d’un gros astronef, le Vril 7, vers Aldébaran par un canal dimensionnel. D’après Ratthofer, le premier essai en vol dans un canal dimensionnel aurait eu lieu l’hiver 1944. L’appareil aurait évité de justesse un désastre, car d’après les photos du Vril 7 prises après son retour, on aurait dit qu’il avait voyagé pendant un siècle. Le revêtement extérieur des cabines paraissait très usé et il était abîmé en maints endroits.
Le 14 février 1944, le pilote d’essai Joachim Roehlike testa àPeenemünde l’hélicoptère supersonique construit par Schriever et Habermohl sous le nom du projet V 7 qui était équipé de douze turbopropulseurs BMW 028. Sa vitesse de montée à la verticale était de 800 m à la minute, il atteignait une hauteur de 24.200 m et sa vitesse en vol horizontal était de 2.200 km/h. Il pouvait être propulsé aussi par une énergie non conventionnelle. Il ne put, cependant, jamais intervenir car Peenemünde fut bombardé en 1944 et son transfert à Prague s’avéra inutile puisque cette ville fut occupée par les Américains et les Russes bien avant qu’on ne puisse utiliser les disques volants.
Lorsqu’ils occupèrent l’Allemagne début 1945, les Britanniques et les Américains découvrirent, entre autres, dans les archives secrètes des SS des photos du Haunebu 11 et du Vril I ainsi que de l’appareil Andromeda. En mars 1946, le président Truman fit en sorte que le comité de la flotte de guerre des USA donnât la permission de rassembler le matériel allemand pour qu’ils puissent expérimenter cette haute technologie. Des savants allemands travaillant en secret furent emmenés aux USA dans le cadre de l’opération paperclip. Il s’y trouvait, entre autres, Viktor Schauberger et Wernher von Braun.
Résumons brièvement ici les constructions qui devaient être produites en série Le premier projet fut conduit sous la direction du Prof. Dr W. O. Schumann de la Faculté des sciences de Munich. C’est dans ce cadre qu’auraient été construits, jusqu’au début de 1945, 17 disques spatiaux volants de 11,5 m de diamètre qui auraient accompli 84 essais en vol, c’étaient eux qu’on appelait les Chasseurs Vril 1. Un Vril-7 et un Vril-7 grand modèle du nom de Odin auraient, pour le moins, décollé de Brandebourg vers Aldebaran, en avril 1945, après avoir fait sauter tout le terrain d’essais et en emmenant une partie des scientifiques de Vril et des membres de la loge Vril.
Le deuxième projet était mené par le bureau d’étude IV des SS qui fit construire, jusqu’au début 1945, trois types de toupies spatiales de différentes grandeurs en forme de cloche :
Le Haunebu I, 25 m de diamètre, en deux exemplaires, testé 50 fois (vitesse en vol d’environ 4.800 km/h).
Le Haunebu II, 32 m de diamètre, en 7 exemplaires, testé 100 fois (vitesse en vol d’environ 6.000 km/h).
Il était, en fait, prévu de construire des Haunebu II en série. Une offre aurait été lancée auprès des firmes d’avions Dornier et Junkers. Fin mars 1945, Dornier décrocha le contrat. L’appellation officielle de ces lourdes toupies volantes allait être DOSTRA (avions Dornier Stratosphère).
Le Haunebu III, 71 m de diamètre, construit en un seul exemplaire, vola au moins 19 fois (vitesse en vol d’environ 7.000 km/h).
L’appareil Andromeda, astronef de 139 m qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux Vril I et deux Vril II resta à l’état de projet.
Il y a, de plus, des documents attestant que le Vril-7, version grand modèle, fut terminé à la fin 1944 et qu’après des essais, il fit quelques vols qui ne dépassèrent pas l’orbite terrestre et qui furent tenus secrets
1. Atterrissage près du lac Mondsee dans le Salzkammergut avec des essais de plongée pour vérifier la résistance du fuselage, à la pression.
2. Le Vril -7 a probablement stationné dans la forteresse des Alpes de mars à avril 1945 pour des raisons de sécurité et des motifs stratégiques. De là-bas, il s’envola vers l’Espagne où s’étaient réfugiées des personnalités importantes du Reich pour les emmener vers l’Amérique du Sud et vers le Neuschwabenland (Nouvelle Souabe) et les mettre en sécurité dans les bases secrètes que les Allemands avaient construites là bas pendant la guerre.
3. Aussitôt après, le Vril-7 aurait décollé secrètement vers le Japon, mais nous n’en savons pas plus.
Qu’advint-il des vaisseaux spatiaux après la guerre On ne peut exclure une production en une très petite série du Haunebu II. Les différentes photos d’ovnis qui, après 1945, montrent des constructions typiquement allemandes nous le laissent à penser.
Certains disent qu’une partie des engins aurait été coulée dans le lac Mondsee en Haute-Autriche, d’autres pensent qu’ils auraient été emmenés en Amérique du Sud ou qu’ils y furent transportés en pièces détachées. Il est certain que même s’ils n’ont pas forcément atteint l’Amérique du Sud, on y fabriqua, à l’aide de plans de construction, de nouveaux appareils. On les fit voler, et une part importante de cette technologie fut utilisée en 1983 dans le cadre de l’expérience Phoenix, projet précédé par l’expérience Philadelphia de 1943. (II s’agit d’expériences de téléportation, de matérialisation et de voyages dans le temps de la US Navy qui furent plus couronnées de succès qu’on ne l’aurait imaginé dans les rêves les plus téméraires. Il y aurait ici matière à un autre livre mais cela nous écarterait du sujet. Voir la bibliographie.)En 1938 eut lieu une expédition allemande en Antarctique menée par le porte-avions Schwabenland. Les Allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrain qu’ils baptisèrent Neuschwabenland (Nouvelle Souabe). C’était une région sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sousmarins du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers la Nouvelle Souabe. Jusqu’à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent. Ils étaient équipés, entre autres, du tuba Walter qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l’eau. On peut penser qu’ils se sont enfuis vers la Nouvelle Souabe avec les soucoupes volantes en pièces détachées ou qu’ils ont, au moins, emporté les plans de construction. On peut supposer aussi, puisque les essais en vol furent couronnés de succès, qu’à la fin de la guerre les soucoupes volantes s’y sont rendues directement.
Cette supposition peut paraître osée à plus d’un, mais beaucoup d’indices importants permettent, cependant, d’imaginer que cela s’est passé ainsi.
On peut alors se poser la question : Pourquoi les Alliés ont-ils envahi l’Antarctique sous les ordres de l’amiral E. Byrd, en 1947 Si ce n’était que pour une expédition, pourquoi Byrd avait-il à sa disposition 4.000 soldats, un bateau de guerre, un porte-avions tout équipé et tout un système complet de ravitaillement Il disposait de huit mois et cependant, il fut obligé déjà au bout de huit semaines de tout interrompre après avoir subi d’énormes pertes d’avions. Le nombre exact ne fut jamais communiqué publiquement. Qu’arriva-t-il
L’amiral Byrd expliqua, plus tard, à la presse : C’est dur à entendre mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à l’autre. Il laissa aussi entendre qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d’une technologie supérieure.
Dans son livre Machines à remonter le temps où il se demande, entre autres, ce que sont devenus les Haunebu, Norbert Jürgen-Ratthofer écrit Depuis mai 1945, les toupies spatiales Haunebu 1, II et 111 et même les disques volants spatiaux Vril 1 ont disparu, d’abord, sans laisser de traces. […] Dans ce contexte, il est extrêmement intéressant de savoir que le Haunebau III du Reich allemand, après son 19è essai en vol, se serait envolé vers Mars pour une expédition spatiale le 20 avril 1945 en décollant de la Nouvelle Souade qui était alors officiellement un immense territoire du Reich allemand en Antarctique de l’Est. Ce qui en est résulté, nous ne le savons pas. […] Un an plus tard, en 1946, d’innombrables objets lumineux d’origine inconnue mais fabriqués indéniablement de façon artificielle furent vus au-dessus de la Scandinavie et provoquèrent un grand émoi chez les Alliés à l’Est comme à l’Ouest.
De nouveau un an plus tard, en 1947, et jusque dans les années 50, des objets volants lumineux surgirent au-dessus de l’Amérique du Nord en un nombre sans cesse croissant. Ils étaient pilotés, c’est certain, par des êtres intelligents, ils étaient, le plus souvent, ronds, en forme de disque ou de cloche, c’étaient aussi parfois des objets volants non identifiés en forme de cigares qu’on appelle ovnis.
Il y a des auteurs qui disent que ces ovnis ne ressemblaient pas, en règle générale, à ceux fabriqués par le Reich allemand. Du matériel photo bien documenté prouve que spécialement la version Haunebu II a été vue, et même très souvent, depuis 1945. Si vous vous êtes intéressés au monde technique des ovnis, vous avez pu constater que parmi les cas où il y a eu des contacts personnels avec les occupants des ovnis, il y a un pourcentage particulièrement élevé de très beaux êtres de l’espèce aryenne, blonds aux yeux bleus et que ceux-ci parlaient soit couramment l’allemand soit une autre langue avec un accent allemand (pour les initiés mentionnons le cas d’Adamski, en 1952, le cas de Cedric Allingham, en 1954, et celui de Howard Menger, en 1956).
On raconte aussi qu’existent des photos en couleur d’un disque volant qui a atterri avec des hommes pour repartir aussitôt et sur lequel étaient dessinées deux croix, une Balkenkreuz et une croix gammée. Ces photos furent prises dans les années soixante-dix par un veilleur de nuit en RDA.
Il existe à propos des engins volants mentionnés ci-dessus un très bon dossier de photos et de films, comme, par exemple, la documentation en 60 mn Les secrets des ovnis du 3e Reich (MGA Austria/ Royal Atlantis-Film GmbH). Citons aussi le dossier de l’Américain Vladimir Terziski qui, lors de la conférence sur les ovnis en septembre 1991 à Phoenix, en Arizona, a projeté des diapositives pendant trois heures et montré des photos de soucoupes allemandes, de plans de construction et de bases souterraines allemandes. Le livre du commandant de l’armée de l’air italienne Renato Vesco est aussi très intéressant ainsi que celui de Rudolf Lusar : Les armes allemandes et les armes secrètes allemandes de la Deuxième Guerre mondiale et leur mise au point ultérieure, J. F. Lehmanns Verlag, München, 1971.
Comprenez-vous maintenant pourquoi tout ce qui a trait aux ovnis passe pour de la fumisterie dans les mass media Compte tenu de cet arrière plan allemand, le monde de la presse et des médias qui est contrôlé par les Illuminati, grâce au lobby anglo-américain-sioniste, est prêt à investir des sommes énormes pour empêcher le citoyen de faire des investigations en ce domaine.
La question qu’on peut se poser maintenant est la suivante d’où les sociétés secrètes allemandes Thulé et Vril tenaient-elles les connaissances indispensables à la construction de ces engins volants D’où leur venait le savoir concernant le génie génétique, domaine où les allemands étaient également fort en avance par rapport aux autres nations
D’après les dires de Herbert G. Dorsey et d’autres chercheurs, ils ont été aidés non seulement par les contacts télépathiques avec des extraterrestres leur fournissant les plans de construction, mais aussi par l’étude de la propulsion intacte d’une soucoupe non terrestre qui s’était abattue en Forêt-Noire en 1936. Mais il n’y a pratiquement aucune preuve de cet événement, ni des témoins oculaires encore vivants.
Cependant, ces preuves existent aux USA, et même en grand nombre. Car à la même époque, les Américains enregistraient une série d’objets qui s’écrasaient au sol ce qui ne put être tenu complètement caché. Nous y reviendrons plus tard. Revenons à la politique. Pendant que l’I. G. Farben soutenait Hitler, son partenaire de cartel, la Standard Oil (Rockefeller) montait le peuple contre les nazis. De même, la Ford Motor Company fabriquait des armements militaires pour l’armée américaine mais produisait en même temps en Allemagne des véhicules militaires pour les nazis. Ford et Opel (filiale de General Motors qui est contrôlée par J. P. Morgan) étaient les deux plus grands fabricants de chars dans l’Allemagne d’Hitler.
Qu’importe le vainqueur, les multinationales étaient gagnantes, depuis le début. C’est selon ce même principe que beaucoup d’entreprises travaillèrent pendant la Deuxième Guerre mondiale. Pourquoi n’y a-t-il rien de tout cela dans les livres des écoliers ou dans les encyclopédies Une des raisons en est la suivante : la fondation Rockefeller a distribué, en 1946, 139.000 $ u.s. pour qu’on présente au public une version officielle de la Deuxième Guerre mondiale qui dissimule toute l’aide des banquiers américains pour l’édification du régime nazi et qui passe aussi sous silence l’idéologie mystique et occulte de ce régime. Un des principaux donateurs était la Standard Oil Corp. de Rockefeller.
Source:http://www.gargouille.info/Springmeier/Felix4.htm
Les photos suivantes ( Objet volant Nazi ) sont authentiques mais ne sont pas des OVNIS,
simplement des appareils et projets militaires.
Vril 1
1934 – 1942
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Voici donc la première soucoupe du Reich en couleur, le Vril 5.
Vril 6
1943
RFZ – 1934/1940
Selon plusieurs sources, RFZ voudrait dire « Rund Flugzeuge », signifiant « l’avion rond », ou « Reichsflugzeuge », l' »avion du Reich ». Il y eu 6 série de RFZ, le numéro 5 pris le nom de Haunebu 1.
Haunebu1 en 1939.
Les Nazis avaient des soucoupes bien avant la seconde guerre mondiale. Encore au niveau du prototype, les nazis travaillait toujours sur le concept de soucoupes volantes.
Haunebu 2 1940
Probablement un engin de la série des Haunebu. Remarquez la mitrailleuse en tourelle. Elle rendait la soucoupe instable, par la suite les Nazis projetaient d’utiliser un espece de lazer appelé « Le rayon de la mort » à la place de la mitrailleuse !
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