Le domaine de Beaulieu connu en 865 sous le nom de Bello-Loctis est situé au nord-est de Ferques. Ce village, ou si l’on veut, ce hameau, était une dépendance du domaine de Fiennes dans la paroisse d’Elinghen. D’après le récit de Lambert d’Ardres, Eustache le Vieil, seigneur de Fiennes, voyant les nobles de son voisinage animés d’un grand zèle pour la fondation de divers monastères, résolut d’en établir un sur ses terres. Il s’y trouvait, en outre, engagé par le désir de sauver son âme, celle de ses prédécesseurs et de ses successeurs, avec le désir de racheter l’âme d’un seigneur de Ponches en Ponthieu qu’il avait tué dans un tournoi. D’autres ont ajouté qu’étant allé à la croisade il avait rapporté de l’Orient le calice dont Notre-Seigneur s’était servi pour faire la cène, et qu’il voulait en confier la garde à un établissement religieux, chargé spécialement d’honorer cette précieuse relique, si célèbre au moyen-âge sous le nom de Saint-Graal. Ce dernier motif n’ayant été mis en avant qu’assez tard, dans le cours du XVl° siècle, par l’abbé Folquin de Beaulieu, il n’y a pas lieu, de trop s’y arrêter. Disons seulement, d’après Lambert d’Ardres, que le fondateur de cette maison nouvelle, y mit des religieux Augustins, tirés, avec Guillaume, leur premier abbé, du monastère de Sainte-Marie-aux-Bois c’est-à-dire de Ruisseauville.
Lambert d’Ardres rapporte la fondation de l’abbaye de Beaulieu au règne de Guillaume II, comte de Boulogne, et à celui de Manassès, comte de Guînes. Ces deux synchronismes sont contradictoires. Manassès est mort en 1137, Guillaume II, ne ceignit la couronne qu’en 1153. Aussi, les historiens sont-ils partagés sur l’époque qu’il convient d’assigner aux commencements de cette communauté : les uns la mettent à l’an 1131, les autres la laissant flotter entre 1153 et 1160, limites extrêmes du règne de Guillaume II.
La première date (1131) est préférable (Dom Gosse, dans son Histoire d’Arrouaise (p. 353) dit que le rang occupé par l’abbaye de Beaulieu parmi les dépendances de cette congrégation, annonce une affiliation faite en 1137). Et d’abord, Lambert d’Ardres, historien des comtes de Guines, a dû errer plutôt sur la chronologie des comtes de Boulogne que sur celle des seigneurs dont il écrivait les annales. Puis, il existe une charte de l’an 1137, par laquelle un noble homme du comté de Boulogne Aitrope, avec sa femme Hadwide et son fils dont le nom n’est pas indiqué, donne à l’abbaye de Beaulieu toutes les terres, les bois, marais, censives et autres droits, qui lui appartenaient dans la paroisse d’Elinghen, à la charge d’une rente viagère de cinq marcs et trois fertings, au terme de Saint-Michel, et au poids de Boulogne, ad pondus Boloniense persolvendas. Après la mort du donateur, cette rente devait être réduite à cinq marcs seulement au profit de son héritier. Le comte Etienne ratifia cette donation par une charte passée la même année.
Ce même Aitrope, ou Eutrope, est cité comme ayant pris part, avec Eustache de Fiennes, à la fondation de cette abbaye; car, dans une note, écrite par un diplomatiste du XVII°siècle au dos de la charte de Guillaume II, publiée par M. de Marsy, les témoins qui ont souscrit à la fondation, furent Eustache du Four, Baudouin de Mortiers, Payen et Arnoul de Caffiers, Baudouin, clerc, Conon et Baudouin, vavasseurs d’Elinghen, et autres pour le comte de Fiennes, contradictoirement avec les témoins du seigneur Eutrope, qui n’est pas autrement connu.
L’établissement de Beaulieu périclita dès le principe. En effet, Guillaume d’Andres reproche aux moines Poitevins qui régissaient l’abbaye des comtes de Guînes, et en particulier à Gusfride leur abbé, de ne pas avoir accepté l’offre que leur fit Eustache de Fiennes, de soumettre sa nouvelle fondation à ce monastère, comme l’avait fait aussi Baudouin d’Ardres pour sa collégiale, avant de la mettre sous la dépendance de La Capelle.Mais le fait auquel fait allusion la chronique d’Andres, peut fort bien s’être passé lorsqu’il s’est agi de remplacer, soit par suite de son décès, soit pour quelque autre motif, le premier abbé de Baulieu. Gusfride a tenu la crosse de 1144 à 1157; et nous trouvons dans le Gallia Christiana, la mention d’une bulle d’Eugène III, aujourd’hui perdue, qui fut adressée en 1148 à Hugues, abbé de Beaulieu, successeur de Guillaume.
Ce fut le même Hugues, deuxième abbé de ce monastère, qui reçut aussi du Saint-Siège la nouvelle confirmation des biens de son établissement, que lui adressa le pape Adrien IV, sous la date du 4 janvier 1157. L’original de cette bulle, signée par le souverain-pontife lui-même et par cinq cardinaux, subsiste encore parmi les épaves échappées au naufrage des archives de Beaulieu que conserve la bibliothèque de Saint-Omer. On n’y trouve point expressément désigné le nom du fondateur, mais seulement celui des personnages qui ont contribué à la dotation. Eustache de Fiennes y figure à la tête de tous, et il semble bien que ce soit pour le fonds. Après lui viennent Warin de Lo, Gila de Kaieu, veuve de Conon de Fiennes, Guillaume son fils, Bernard de Bainghen, Eustache de Bezînghen, donateur de six setiers de froment à Embri, Hugues de Réty, un frère convers nommé Bernard, Baudouin d’Hermelinghen, Hugues de Colembert, Baudouin de Landrethun, Emeric du Temple, Jean de Ferques et autres trop vaguement dénommés pour être mentionnés ici.Il n’y est pas question d’Eutrope, ni des biens d’Elinghen; mais il y a une lacune d’une ligne, dans un pli du parchemin, au commencement de l’énumération des propriétés. D’ailleurs, la donation faite en 1137, par Aitrope, sous la charge d’une redevance de cinq marcq trois quarts a sans doute paru trop onéreuse; car ce seigneur la renouvela dans la suite, ainsi que nous l’apprenons d’une charte sans date de Guillaume II, comte de Boulogne, publiée par M. de Marsy, de Compiègne, dans le Bulletin de la Société des Antiquaires de la Morinie. L’objet de l’acte reconnu par le comte Guillaume, est le même que celui de 1137, énoncé plus haut. Seulement, la redevance stipulée comme rente viagère par le donateur n’est plus que de deux marcs, payables dans l’octave de la Pentecôte, à. Merch où il résidait. Une note ancienne, écrite au dos de cette pièce, dit que l’évêque Milon de Thérouanne confirma cette libéralité en 1157, ce qui nous fait connaître approximativement l’époque où elle eut lieu. L’abbé Gusfride d’Andres y apposa sa signature, en la compagnie d’un de ses religieux nommé Rainulfe.
Malgré ces donations l’abbaye de Beaulieu ne fut jamais un établissement bien considérable. Néanmoins, son domaine, à la fin du XIII° siècle, était assez étendu. Nous avons encore, en un rouleau de parchemin, long de 3 mètres 50., le terrier de ses tenanches, de ses rentes et de ses droitures, dressé en 1286, et nous y remarquons les noms des villages d’Elinghen, Ferques, Landrethun et Moyecques, Caffiers, Fiennes, Hermelinghen, Boursin, Hardinghen, Réty, Rinxent et Hydrequent, Raventun, Offrethun, Marquise et Baudrethun, Leulinghen, Wierre-Effroy, Bancres, etc. En fait de patronage d’églises, je ne crois pas qu’elle en ait jamais eu d’autre que celui de Tardinghen. Quant à ses dîmes, celles dont elle jouissait encore au dernier siècle étaient d’un ordre tout à fait secondaire, dans les paroisses de Caffiers, Hardinghen, Hesdres, Hydrequent, Leubringhen, Lottinghen, Wierre-Effroy et Wimille.
La comtesse Mahaut de Boulogne. dota l’abbaye de Beaulieu d’une chapellenie, à laquelle elle attribua une rente de 96 rasières d’avoine.
L’instabilité des choses humaines est telle, même pendant les siècles auxquels on donne le nom d’âges de foi, que, la fondation faite à perpétuité par Eustache de Fiennes eut peine à durer deux cents ans. En effet, le 6 mai de l’an 1347, Annibal Ceccano, cardinal évêque de Tusculum, nonce du pape en France, était obligé d’accorder aux moines de Beaulieu, par une lettre datée du monastère de Saint-Josse, un délai de six mois pour acquitter le droit de procuration qu’ils devaient au Saint-Siège et dont il y avait deux années d’échues. Il est dit dans cet acte, que tous les biens de l’abbaye avaient été dévastés par les guerres., que leur maison avait été brûlée, et que l’abbé aussi bien que ses religieux se trouvaient réduits à mendier. Ce fut bien pis, quand les Anglais se furent rendus maîtres de Calais. Une note, consignée dans un ancien martyrologe, nous apprend que » la paix ayant été rompue en 1369, la guerre se ralluma entre les rois de France et d’Angleterre, et que, par suite, en l’an 1390, la veille de Sainte-Marie-Madeleine, c’est-à-dire le 21 juillet, l’abbaye de Beaulieu fut prise et détruite par les Anglais « .
A partir de cette époque, elle ne paraît plus avoir été habitée autrement que par un fermier qui en faisait valoir les revenus, et par un chapelain qui en acquittait les fondations religieuses, en continuant de prier pour l’âme des bienfaiteurs; mais il y eut toujours un abbé, qui ne résidait pas, et qui succédait en qualité de commendataire aux anciens abbés réguliers.
Certains pensent qu’avant 1544 et le saccage de Fiennes et de Ferques par les Anglais, un souterrain reliait l’abbaye au château de Fiennes. Au XVII° siècle l’abbaye fut restaurée.
Les moines y ont disparus depuis quatre siècle. Pour quelques privilégiés, ils continuent pourtant d’apparaître régulièrement au cœur de leur abbaye abandonnée.
La première apparition des moines de Beaulieu se situe dans les années 30. Ce jour-là, un couple d’amoureux s’isole en fin d’après-midi aux abords de l’abbaye. Ils s’asseyent dans l’herbe, se disent des mots tendres, échangent des baisers, quand soudain, ils se sentent éloignés l’un de l’autre, attirés en arrière par une force invisible. Se tenant par la main, ils essayent de se rapprocher, mais n’y parviennent pas. En quelques secondes, le jeune homme se retrouve à cinq mètres de sa fiancée. Elle pousse un cri de frayeur, appelle à l’aide, mais il est dans l’impossibilité d’intervenir et d’éloigner ces forces qu’il juge maléfiques. En fait, il s’agit de fantômes de moines, probablement choqués par ces gestes osés en un tel lieu…
Mais cela, le couple ne l’apprendra que plus tard ! Durant la Seconde Guerre mondiale, un régiment britannique fait halte près de la chapelle de Beaulieu, cette dernière a été fondée par les Cisterciens en l’an 1204 et a prospéré jusqu’à ce que le roi Henri VIII décide sa fermeture en 1538. Depuis les années 1930, les habitants savent qu’en fait les moines n’en sont jamais vraiment partis. Et dans la région, tout le monde en était convaincu depuis quatre siècle déjà ! Les villageois échangeaient à la veillée des histoires de fantômes qu’ils racontaient à leurs petits-enfants et qui, ainsi enjolivées, traversaient les siècles.
Mais revenons à cette année 1943. Une unité anti-aérienne campe près de l’abbaye, envoyée pour une mission spéciale. Dans la nuit, les officiers se réunissent pour établir un plan de campagne pour les jours qui viennent. Ils sont sous une tente et conversent ardemment, lorsqu’un souffle étrange agite le campement. En cette soirée d’été, il n’y a pas le moindre brin de vent, aussi plusieurs militaires pensent-ils à une soudaine tornade. Plusieurs d’entre eux quittent la tente, regardent aux alentours, voient les feuilles des arbres voler, les branches s’agiter, sans ressentir sur leur visage le plus petit souffle d’air.
Ils sont tous réunis et s’interrogent sur ce mystère lorsqu’ils voient un groupe de moines sortir de la chapelle. Le colonel les interpelle, mais les moines ne répondent pas. Un capitaine court dans leur direction et traverse le groupe sans toucher personne. Il n’y a plus aucun doute à avoir : ce sont des fantômes ! Très réalistes, les officiers ne croient pas aux fantômes habituellement et ceux-là ne font pas exception à la règle. Un mirage alors ? Ils sont prêts à le croire quand celui qui paraît être le chef des moines, c’est-à-dire le père supérieur, s’approche très près d’eux et les informe d’une prochaine attaque aérienne dans la région. Puis il disparaît…Quarante-huit heures après, des avions de la Luftwaffe survolent l’abbaye de Beaulieu…
Une nuit de l’année 1951, quelques jours avant Noël, Michael Sedgwick travaille d’arrache-pied à son bureau, vers minuit. Directeur de recherches au musée de l’Automobile de l’abbaye de Beaulieu, Sedgwick travaille fréquemment la nuit, fumant cigarette sur cigarette. L’atmosphère est si enfumée qu’il ouvre la fenêtre pour aérer la pièce avant de partir se coucher. C’est alors qu’il perçoit des chants catholique très proches. Il affirmera plus tard :
Cette musique douce, interprétée par des voix mélodieuses, venait par vagues irrégulières, comme si elle sortait d’une radio en mauvais état de fonctionnement.Les chants étaient si beaux qu’aussitôt j’essayai de les capter sur mon propre poste de radio. Mais aucune station ne diffusait une telle musique. Je dus me rendre à l’évidence : un groupe d’hommes interprétaient ces chants religieux !
Ce même soir, à deux kilomètres de là, Bertha Day, l’intendante de l’abbaye, entend elle aussi les cantiques. Aux enquêteurs, elle affirmera le lendemain :
Je savais que ma voisine, Mme Mears, venait de mourir. Je crus que des prêtres avaient été appelés pour dire une messe à son chevet et je ne me posai pas davantage de questions.
En fait, Mme Mears n’était déjà plus à son domicile ce soir-là. Les enquêteurs, ainsi que Michael Sedgwick et Bertha Day, comprendront un peu plus tard que ce sont les moines de l’abbaye qu’ils ont entendus ce soir-là chanter une messe.
Durant quelques semaines, la police alertée tente de découvrir si des squatters n’ont pas pris possession de l’abbaye, à l’insu du propriétaire. Mais non : aucun moine et aucun squatter ne vit plus à Beaulieu depuis des siècles. Seul le révérend Robert Fraser Powles affirme entretenir avec les moines, ou plutôt leurs fantômes, d’excellentes relations. Il en connaît plusieurs par leur nom, en tutoie certains. Ce sont des hommes morts au début du XVI ème siècle mais qui reviennent à chaque Noël pour célébrer un office dans l’église du village. Le 24 décembre de l’année 1958, lorsqu’un fidèle fait remarquer au révérend Powles qu’il y a très peu de monde pour suivre la messe de minuit, ce dernier répond :
Il y en a beaucoup plus que vous ne voyez !
Et aussitôt des chœurs venus de l’au-delà résonnent harmonieusement dans la petite église.
En 1965, l’actrice Margaret Rutherford ( la célèbre miss Marple d’Agatha Christie au cinéma ) se promène dans la région. C’est ainsi qu’elle rencontre un moine vêtu d’une longue robe brune, lisant dans les ruines du cloître. Elle appelle aussitôt un paysan cultivant son champ à quelques mètres de là, pour qu’il constate la présence de ce moine lui aussi. Mieux : elle photographie l’homme d’église appuyé contre un mur. Au développement, le moine ne sera plus sur la photo et seul le mur en ruine apparaîtra.
Entre 1940 et 1980, les apparitions de moines sont si fréquentes à Beaulieu que toute l’Angleterre parle de l’abbaye. Une équipe de cinéma se rend dans la région pour y tourner un film d’épouvante. Mais les fantômes de l’abbaye n’aiment pas qu’on se moque d’eux ! Alors qu’un technicien descend les marches d’un escalier tournant, au cœur du monastère, il entend des pas derrière lui mais ne voit personne.
Un peu plus bas, il croise le metteur en scène et l’un des interprète du film, auxquels il dit sa frayeur. Les trois hommes entendent alors très distinctement les pas se précipiter dans leur direction. Ils ont même l’impression d’être piétinés, dépassés, puis cette cavalcade s’éloigne vers le bas, preuve qu’ils ont été croisés par des personnes invisibles.
Plusieurs comédiens affirmeront même avoir vu pénétrer dans le cimetière, une nuit, plusieurs moines suivant un enterrement ! Dans tous les cas, les descriptions des fantômes sont identiques : les moines sont vêtus de marron, habit des frères de l’époque qui, plus tard, s’est transformé en robe blanche. Et cela, personne ne pouvait le savoir ! L’abbaye de Beaulieu appartient à la famille de Lord Montagu depuis 1673. Les Montagu refusent de toucher à la moindre pierre du monastère et déclarent que les fantômes sont des amis pour l’éternité et qu’ils seront toujours ici chez eux !
Sources Diverses: ParanormalNews,Google pour les images.
Géolocalisation: L’abbaye de Beaulieu
Rey ta première photo, je me suis permis de l’enlever, car ce n’est pas du tout la bonne Abbaye, celle dont tu parles est celle dans la région du Nord Pas de Calais, celle dont tu montres en première photo, est celle de Beaulieu en Rouergue dans le Midi-Pyrénées, de plus il ne reste plus grand chose de celle du Pas-de-Calais, elle n’est plus vraiment considérée comme un monument, j’ai recherché sur des cartes des plus détaillées et je ne l’ai pas trouvée pour la géolocaliser…Je l’ai retrouvé grâce à des photos d’une randonnée VTT…D’ailleurs c’est la seule photo que j’ai qui est actuelle, le reste, ce ne sont que de vielles gravures d’une ancienne époque où elle était déjà considérée comme ruine.
Aussi la photo de « l’apparition » blanche n’a aucun rapport avec l’article, de plus c’est un fake avéré, alors même pour illustrer…^^ Je sais, je suis super pointilleux et chiant, mais que veux-tu c’est aussi pour ce sérieux que les membres nous font des éloges héhé…
Pour finir, vu que tu dis avoir plusieurs sources pour cet article, j’espère que du coup il ne s’agit pas des deux différentes Abbayes mélangées…
En bref je me suis bien arraché les cheveux, mais maintenant je pense que tout est bon. 😉
PS: je me permets encore une fois de te rappeler qu’il est préférable de faire des liens hypertextes pour tes sources qui donnes accès à l’article repris. Quant aux images, tu écris google, mais Google ne fait que te lister les images hébergés sur d’autres sites, c’est surtout ces sites tes sources, mais comme il est inutile de lister toutes les sources des images…Vaut mieux rien mettre…héhé!