Joseph Carey Merrick est né le 5 aout 1862 en Angleterre, à Leicester.
Personnage émouvant sujet à de nombreuse fiction et étude scientifique à l’époque de son vivant. C’est avec horreur que les gens le surnommèrent Elephant Man (l’homme éléphant) et insulté de phénomène de foire le tout du à son apparence très difforme causé en réalité par une maladie.
Joseph Carey Merrick ou Elephant Man.
Fils de Joseph Rockley Merrick et de Mary Jane Merrick il possèda un petit frère, William Merrick et une petite soeur Marion Merrick.
Très tôt Joseph commença à développé de nombreuses tumeurs sur son corps et son visage, son bras droit devint inutilisable et grossis de plus en plus, sa bouche se déforma et il se mit à boiter suit à une chute à l’age de 5 ans.
Sa mère décéda lorsqu’il eu 11 ans, son père part vivre sa vie et le laisse sous les conseils de sa nouvelle épouse qui ne veut pas d’un enfant aussi monstrueux, c’est ainsi qu’à 12 ans faute d’éducation parentale il est contraint à se trouver un travail.
En 1875 son état lui permettant encore d’effectuer certains travaux il commença à travailler dans une fabrique de cigare ce qui ne dura pas à cause de son état physique de plus en plus handicapant.
Vers 1876, pour gagner de l’argent, il devient vendeur dans la mercerie au porte à porte ou dans les rues, malheureusement encore à cause de son état physique et de sa santé, il se doit d’arrêter le travail.
En 1877, il vit de petit job, tous se terminant rapidement, Joseph ne pouvant assurer son poste du fait de son apparence physique et de sa santé.
En 1879, le père de Joseph, l’expulse de chez lui, il vivra quelque temps chez son oncle Charles Barnabus Merrick avant d’être admis en décembre 1879 à l’hospice des pauvres de Leicester. Il s’y fit opéré et on lui retira l’excroissance sur sa lèvre supérieure.
En 1884, Joseph quitta l’hôpital et proposa à Sam Torr directeur du Gaiety Palace of Varieties d’être son « phénomène de foire » pour son théâtre à Londres afin de gagner de l’argent.
Il fut alors exhiber et renommé « Elephant Man », l’homme éléphant et Joseph racontera plus tard qu’il fut, durant cette année, maltraités et battue.
Durant l’un de ses « spectacles », fin 1884, un jeune docteur en chirurgie nommé Frederic Treves est avertit par un de ses amis, Tom Norman, amateur de « curiosité anatomique », de l’existence d’un homme très difforme.
Le docteur Treves rencontre Joseph au 123 whitechapel Road. Il décide de l’emmener à la société de pathologie de Londres le 2 décembre, trouvant son cas particulièrement intéressant.
Après avoir été examiner, Joseph repart dans les rues de Londres qui interdire en 1885 les expositions de personnes déformés et souffrant de malformation, Joseph part en Europe continentale.
Joseph sera enlevé en Belgique par un allemand qui lui volera en le maltraitant, toute ses économies.
Joseph est contraint de retourner vivre à londres, il reprendra contact avec le docteur Treves en juin 1886 à liverpool, le docteur retrouva Joseph atteint d’une bronchite et souffrant de malnutrition.
Le docteur le prit alors en charge, lui trouva une place à l’hôpital de whitechapel en tant que résident permanent.
Grâce à l’intervention du directeur de l’hôpital de Londres Francis C. Carr Gomm, qui fit paraître dans le Times une annonce pour recueillir des fonds afin de subvenir au besoin et au logement de l’« Homme Eléphant », et au soutien de la reine Victoria sensibilisée par cette cause, Joseph put vivre le reste de sa vie dans l’hôpital, années durant lesquelles il fut longuement examiné par le docteur Treves devenu son seul ami.
Treves commença a étudier le cas de Joseph et ils commencèrent tout deux à se faire connaître. De nombreux philanthrope de des gens fortuné partout dans l’Europe donnèrent de l’assistance, de l’argent et de quoi subvenir a ses besoins. Il restera à l’hôpital tout le reste de sa vie. Le principale problème pour Joseph était qu’il avait du mal a parler à cause de sa bouche, et une des rares personne à le comprendre était Treves.
Les années passèrent et le corps de Joseph Merrick devint de plus en plus difforme et souffrit de plus en plus.
Le 11 avril 1890, Joseph Merrick fut retrouvé mort par asphyxie du à sa lourde tête qui se serai renversée vers l’arrière durant la nuit , Joseph n’a jamais pu dormir allongé. Il fut dit que ce soit une mort accidentelle cependant on peut penser qu’il aurai voulu en finir avec sa vie et au vu de ses souffrances et de son état empirant Joseph se serai peut être allongé sur le dos de tout son corps sachant se qui se produirai alors.
Le cas pathologique de Joseph Merrick.
> Source Wikipédia article très court:
Le cas de Joseph Merrick intéressa nombres de pathologistes, à commencer par le docteur Treves lui-même qui, après sa mort fit une autopsie détaillée pour chercher à connaître les causes des difformités dont il souffrait. Joseph Merrick lui-même imputait la cause de sa maladie à l’accident dont sa mère avait été victime en ayant été renversée par un des éléphants d’une parade se produisant à Leicester. Toutefois, assez vite, on écarta cette hypothèse et aussi celle de l’éléphantiasis, maladie d’origine parasitaire, fréquente dans les pays tropicaux mais rare en Europe.
Très longtemps, la cause communément admise fut que Joseph Merrick souffrait de neurofibromatose de type I dite aussi maladie de Recklinghausen, une maladie neurologique et héréditaire qui affecte les tissus et les os et produit dans les cas les plus extrêmes des déformations proches de celle de l’« Homme Éléphant ». Mais des recherches génétiques faites à partir de ses ossements ont permis d’établir qu’il souffrait en fait du syndrome de Protée, une maladie génétique qui affecte la croissance des tissus, et produit elle aussi des déformations.
Le squelette préservé de Merrick était auparavant exposé à l’hôpital du collège de médecine de Londres. Il n’est désormais plus visible du public.
Joseph Merrick plus connu sous le nom d’éléphant man/l’homme éléphant fut l’un des personnages les plus célèbres de Londres.
A sa manière et bien qu’ayant une triste histoire, ce personnage à marqué son nom dans l’histoire et surtout dans la médecine.
Plusieurs fictions et œuvres sont parues sur son histoires.
Un livre de son médecin, le docteur Frederick Treves intitulé, Elephant Man Stalker, mais aussi des œuvres cinématographiques comme Eléphant man, de David Lynch avec Anthony Hopkins en 1980 et aussi une pièce du même nom parue a Broadway en 1977 écrite par Bernard Pomerance.
Plus récemment en 2000, un romancier français, Xavier Mauméjean à publié un roman, Ganesha, dont le héros et narrateur est Joseph Merrick.
Enfin voici une conclusion très belle tirée du site Dark Ride:
Sous son apparence horrible se cachait quelqu’un de formidable qui nous à laisser des poèmes et le récit de sa vie est un beau message d’espoir…
Un poème de Joseph Merrick…(que je vous traduit).
’Tis true, my form is something odd
but blaming me, is blaming God,
Could I create myself anew
I would not fail in pleasing you.
If I could reach from pole to pole
or grasp the ocean with a span,
I would be measured by the soul
The mind’s the standard of the Man.C’est vrai, je ressemble à quelque chose d’étrange
Mais me blâmer, c’est blâmer Dieu,
Si je pouvais me refaire de nouveau
Je ne voudrai pas me perdre à vous plaire.
Si j’avais pu atteindre les deux pôles
ou empoigner l’ océan dans toute son envergure,
J’aurai été pris en compte selon mon âme
J’aurai eu l’esprit au même norme que l’homme.
Superbe,cette histoire ma toujours facinée et j’en suis meme presque sur que ce fameux Joseph devait etre une personne remarquable.Y’a qu’a voir le courage qu’il a eu de survivre avec cette maladie.
Exactement du même avis que toi, une belle leçon de courage et d’espoir nous est donnée à travers son histoire!!
C’est vraiment triste d’avoir eu une vie pareil, et je suis sure que c’était quelqu’un d’intelligent quand meme a en juger son poème, et les gens ont tord de juger selon l’apparence de quelqu’un, il souffrait deja assez avec sa maladie pas besoin d’en rajouter
Bon résumé de la biographie de Merrick. Dommage qu’un nombre incalculable de fautes d’orthographe rende pénible la lecture de l’article…
Très bon article, mais que de fautes (syntaxe, grammaire, orthographe, conjugaison, etc.). Dommage…