Une femme américaine qui lévitait, montrait des pouvoirs psychiques paranormaux et parlait dans des langues étrangères qui lui étaient inconnues, était clairement possédée par un démon, selon un psychiatre certifié et professeur associé de psychiatrie clinique au New York Medical College.
La femme anonyme, qui était impliquée depuis longtemps dans des groupes Sataniques, fut observée par une équipe de prêtres, diacres, plusieurs assistants paroissial, psychiatres, nonnes, certains ayant aussi des formations médicales et psychiatriques, lévitait à 15 centimètres du sol alors que des objets s’envolaient des armoires de la même chambre, selon le Dr. Richard E. Gallagher, qui a documenté le cas dans le numéro de février du New Oxford Review.
“Périodiquement, en notre présence, Julia entrait dans un état de transe de nature récurrente,” écrit Gallagher. “Les individus mentalement dérangés ‘dissocient’ souvent, mais les transes de Julia étaient accompagnés de phénomènes inhabituels : De sa bouche sortaient des menaces variées, insultes et langage scatologique, des phrases comme ‘Laisse la seule, idiot,’ ‘Elle est notre,’ ‘Va-t-en, prêtre imbécile,’ ou juste ‘Va-t-en.’ Le ton de sa voix différait nettement de celle de Julia, et elle variait, parfois étant gutturale et vaguement masculine, et à d’autres moments très aigüe. La plupart de ses commentaires lors de ces ’transes,’ ou exorcismes qui ont suivi, affichait un mépris marqué pour tout ce qui est religieux ou sacré.”
Le sujet ne se souvenait pas avoir dit ces phrases après être sortie de l’état de transe, selon Gallagher.
“Parfois les objets autour d’elle s’envolaient des étagères, ce qui est un phénomène rare connu des parapsychologues sous le nom de psychokinèse,” rapporte Gallagher. “Julia avait aussi connaissance de faits et évènements qui lui étaient impossible de savoir de façon naturelle.
“Elle rapportait souvent des informations sur ses proches, formation de ménages, décès de la famille et maladies, etc., de membres de notre équipe, sans même les avoir vu ou avoir été informé de leur existence,” a-t-il dit. “Par exemple, elle connaissait la personne et la manière précise de la mort (ex., le type exact de cancer) d’un proche d’un membre de l’équipe, chose que personne ne pouvait avoir deviné. Elle parla une fois du comportement frénétique étrange de certains animaux qui n’étaient pas directement observables : Comme si elle habitait dans une autre ville, elle a décrit, ‘Alors les chats étaient vraiment furieux la nuit dernière, n’est-ce pas ?’ le matin suivant deux chats de la maison d’un membre de l’équipe s’étaient violemment attaqués vers 2 heures du matin.”
Julia demanda le rituel d’un exorcisme de l’Église Romaine, convaincu depuis le début de ses consultations qu’elle était sous une attaque démoniaque.
“L’exorcisme a commencé lors d’une chaude journée de juin,” se souvient Gallagher. “En dépit de la météo, la chambre dans laquelle le rite se déroulait devint sensiblement froide. Plus tard, cependant, lorsque l’entité en Julia a commencé à cracher de l’acide et faire des bruits étranges, des membres de l’équipe ont beaucoup transpiré à cause d’émanations étouffante de chaleur. Tous les participants ont dit que la chaleur leur avait été insupportable.
“Au début, Julia était entrée dans un état de transe calme. Mais après les prières et invocations du Rituel Romain, qui ont duré un certain temps, de multiples voix et sons sortirent d’elle. L’un d’eux ressemblait à des grognement et bruits d’animaux, qui pour le groupe, semblaient impossible à imiter pour n’importe quel humain. À un moment, les voix parlaient en une langue étrangère, y compris en des langues reconnaissables – latin et espagnol. (Julia ne parle elle-même qu’anglais, comme nous l’avons plus tard vérifié.)
“Les voix étaient de nature nettement attaquantes, et souvent insultantes, blasphématoires ou hautement scatologique. Elles maudissaient et insultaient les participants de la façon la plus crue. Elles étaient fréquemment menaçantes – essayant, semble-t-il, de se battre – ‘Laisse la seule,’ ‘Stop, les putains’ (aux nonnes), ‘Vous le regretterez,’ et du genre.
“Julia montrait aussi une force énorme. En dépit des sœurs religieuses et d’autres la maintenant de tout leur poids, elles se battaient pour la retenir. Singulièrement, pendant environ 30 minutes, elle a réellement lévité à 15 cm dans l’air.”
Le but de l’article de Gallagher, a-t-il dit, est de “documenter un cas contemporain et bien déterminé de possession démoniaque.” Il explique que même ceux qui doutent de l’existence ’un tel phénomène trouveraient ce cas “plutôt convainquant.”
“La possession n’est que l’une des attaques démoniaques, et pas la plus commune. La possession est très rare, bien que pas autant qu’on l’imagine,” conclut-il. “Les soi-disant ‘oppression,’ [NdT : ’obsession’ dans la terminologie de Kardec] ou ‘infestation,’ sont moins rares, bien que ce soit peu fréquent et parfois plus difficile à discerner avec précision.”
Commentaire :
Pour ceux que cela intéresse, et qui parlent l’anglais – naturellement, pas par glossolalie !
– il y a le livre Hostage to the Devil : The Possession and Exorcism of Five Americans de Malachi Martin et un podcast sur la possession sur le site sott.net.
(Source)